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Entre mère et fils, une histoire d'amour et de désir - Virginie Megglé

#172  26121

Re: Entre mère et fils, une histoire d'amour et de désir - Virginie Megglé

À l’ordre du jour, les sceptiques

À par cela quoi de neuf ?
Que du vieux, que du vieux,
Rien du vieux, rien que du vieux.

Les sceptiques sont des suicidés avant terme,
Les stoïques dignes perchés sur leur tour de Pise , désespérés,
Les platoniciens sans passion, démiurges, sont des rois sans sujet,
Les aristotéliciens allument le feu et par curiosité de l’éteindre après,
Les agnostiques, ça leur fait une belle jambe d’avoir un bel enterrement.
Les moralistes, inutile de leur destiner une parole ils ont toujours raison.
Les existentialistes continueront à se poser les éternelles questions.
Que Dieu existe ou pas, ne peuvent se sauver qu’eux-mêmes.
Serait-ce un humanisme ?

Les enfants sourient parce qu’ils ne connaissent pas les hommes
Son gai ravissement à lui est comme l’épanouissement de fleurs
Mais euxfont de la vie un tissu de mensonges avec un ou deux fils-vérité.
Beaux parleurs et orateurs latins Vir et Virgo, bref, Vir/tuent/elles.
Ils ont une âme à deux tranchants, naturellement, au reflet d’acier.
Il ne sait pas encore, lui, l’enfant, le visage diaphane et effacé,
Qu’il y a des cons spaths, amples et gisants,
Parfois benêts, cristallins, naïvement cons,
D’autres irrémédiablement et définitivement abscons.


Oui, les enfants sourient parce qu’ils ne connaissent pas les hommes
À l’ordre du jour, et par tous les temps.
Il y aura toujours un slomo unilatéral,
Qui déliera le sensible et le beau de leur construction.
Où refendra la clé d’or qu’il avait recouvrée,
Altérité de l’enfant ronronnant recoupée.
L’imaginaire en tas de cartons épars, déchargé et vidé ;
Dans un terrain vague de strates marbrées, certains éventrés.
Question d’éthique, question de normalité ou de moralité.
De zéro de convention et principiel là où était le naturel.
Au reste le rajout de sa quatrième dimension,
Qui s’appellerait mémoire, tronqué de son histoire.
À l’ordre du jour et par tous les temps,
Une vertigineuse toile qui cherche un point de liaison.

Oui, l’enfant sourit parce qu’il ne connaît pas les hommes.
Le bonheur est maculé de points de suspension,
Tâchés de blanc ou de ravelures colorés, c’est selon !
De profondes spirales en cercles fermés vis et versa.
Plus d’en-soi, et le moi versé en extérieure chose.
Il a décidé de ne plus avancer, sa tête brûlée sur un plateau.
Telle la voiture est en prise directe à l’accident,
L’attention du conducteur est au point mort,
Cherchant un accord d’avant, glose qui n’a plus
ni intérêt d’être dite ni écrite et qui ne répète
Que ce qui est déjà inscrit sans aucun intérêt
Et qui ne sert à rien d’engendrer son propre contenu
jamais compris , jamais dit ,jamais écrit, jamais lu.
Où rien de nouveau ne sera plus jamais dit ni écrit
D’une vie sans sens d’humain qui ne sert à rien.

Oui, l’enfant sourit parce qu’il ne connaît pas les hommes,
Et si le silence est d’or, il est parfois plus traitre et dangereux
Que le mensonge… L’indifférence des yeux voilés des morts vivants.
Comme la sensibilité s’émousse lorsque l’on reste trop longtemps
Sur un baril de poudre, ou le cabinet de sentence de Zoroaste.
Cette fois on ne l’aura pas, il connaît sa vérité de cristal.
Les déchirures, les cassures, les brisures, répétition de répétition,
Transfert de répétition ou répétition de transfert.
Comme les ricochets des vagues qui façonnent les galets.
C’est toujours l’acteur, éjecté de la scène, le grain de sable diamant.
Ni le metteur en scène, ni l’homme de plume,
Il cherche encore une moitié qui unirait ces trois tirets-là.
Enfant, tu as encore devant les yeux des paillettes de mica.

Oui, l’enfant sourit parce qu’il ne connaît pas les hommes.
La joie pour lui est une et vraie, elle n’existe que par elle-même,
Mais le rire, non le sourire, est une expression double.
Vénus, Pan, Hercule, n’était pas des personnages risibles.
Cependant, nous en avons ri après la Vénus, Jésus, Platon et Sénéque.
Fétiches qu’ils étaient, déduisent d’adoration de symbole de force.
Qui font des enfants joyeux et riants, tous des Santans en herbe.
Et si nous regardons Voltaire, il tire toujours sa raison d’être
de supériorité tout est là significatif, profond et excessif.

Oui, les enfants sourient parce qu’ils ne connaissent pas les hommes.
Et comme la loi d’autorité des uns est faite de la faiblesse des autres,
Il partira avec du miel, puis reviendra à l’altérité vitriolée et pavée.
Il ne sait pas les fins fortuites qui manqueront toujours de conclusion.


À par cela quoi de neuf ?
Que du vieux, que du vieux,
Rien du vieux, rien que du vieux

Le temps présent n’est que division.

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#173  26125

Re: Entre mère et fils, une histoire d'amour et de désir - Virginie Megglé

Sylvia



T'es née dans un courant d'air
Entre deux bombes d'une armée de l'air
Puis t'as survécu, petit enfant,
Infatigable combattant.

T'as fêté tes cinq ans
Sans t'en apercevoir et pourtant
Ton avenir t'attend, Sylvia
Ton destin t'attend là-bas.

Tu ne connais pas ta mère
Elle t'a vu naître dans un éclair
Puis elle a suivi les anges du ciel.
Ce jour-là y avait un arc-en-ciel !

T'as fêté tes dix ans
Sans même le savoir, oui, mais pourtant
Ton avenir te prend, Sylvia
Ton destin t'emmène là-bas.

Tu es née dans la misère
Pour parler des tiens, de ta terre,
Rouge comme le sang des enfants morts,
Dont on enterre les petits corps.

T'as fêté tes vingt ans,
Tu sais maintenant et tu comprends
Qu'il faut crier très fort, Sylvia
Pour avoir cinq ans chez toi !

Alors, tu nais face au monde
Qui semble s'être tû une seconde
Et dans le hurlement des Mamans
Tu cries la vie au firmament

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#174  26126

Re: Entre mère et fils, une histoire d'amour et de désir - Virginie Megglé

L'audition


Touches blanches et noires
Sous mes mains tremblantes
Concerto sous les yeux
Le cœur au bord des lèvres
Devant moi, ils attendent
Assis sur leurs chaises
Les oreilles aux aguets
Prêts à laisser tomber le couperet
A la moindre faute
Au moindre écart par rapport à la partition
Un roman de notes
Ponctué de soupirs
De pauses plus ou moins longues
De rondes, blanches ou noires
Comme les touches de mon piano

Respiration,
Concentration,
Inspiration,
Exécution...

Mes mains se posent
Sous la dictée posthume de l'auteur
Plus rien n'a d'importance
Je ne vois plus rien autour de moi
Si ce n'est ces lignes ponctuées de symboles
Un récit que je connais par cœur
Un texte qui m'a pris des heures de ma vie
Une connaissance de chaque respiration
Chaque intonation, chaque ponctuation
L'émotion grandit sous mes gestes mécaniques
Ne pas sombrer
Rester à la lisière
Respirer...
Seulement jouer,
Comme si c'était la dernière fois
Encore une fois...

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#175  26127

Re: Entre mère et fils, une histoire d'amour et de désir - Virginie Megglé

Éden


Non, j'ai déjà un chien
Mais toi tu t'en fous bien !
Ne me regarde pas,
Tu sais, je ne peux pas.

Il faudrait de la place,
Oui, un peu plus d'espace,
Pour deux.

Ne me regarde pas !
Évite-moi cela,
Ton regard malheureux
Me mets les larmes aux yeux !

C'est vrai que tu as l'air gentil,
C'est vrai que tu es tout petit,

Pourquoi dans une cage ?
Alors que je suis là,
Et après réflexion, j'ai tant d'amour pour toi !

Allez ! Viens dans mes bras,
On sera bien tous les trois.

La maison est petite, mais mon coeur est si grand,
Que je suis sûre enfin du bonheur qui t'attend !

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#176  26128

Re: Entre mère et fils, une histoire d'amour et de désir - Virginie Megglé

Elle est  si belle la terre


Tant de tracas et tant de guerres
Pour tous les hommes de la terre
Qui tracent encore des frontières
Dressant des murs et des barrières
Entre ennemis et entre frères

Tant de tracas et de misères,
Enterre ici la hache de guerre.

Elle est pourtant belle la terre
Avec ses bois et ses rivières
Ses lacs, ses étangs et la mer
Et la colombe bien passagère
Garde les cendres de nos pères

Elle est si belle notre terre
Enterrons la hache de guerre.

Loin de la foule moutonnière
Il faut bâtir un sanctuaire
Bannir les haines et les colères
Il faut aussi bannir les guerres
Qui remplissent nos cimetières

Rien que la paix et plus guerre
Elle est si belle notre terre

Hommes et femmes de la terre
Loin des massacres ordinaires
Construisons notre sanctuaire
Notre retraite bien solidaire
Nous allons vivre enfin en frères

Rien que des amis sur la terre
Elle est si belle notre terre


Utopie, rêve, espoir, chimère,
Toujours renie à quoi ça sert  ?

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#177  26141

Re: Entre mère et fils, une histoire d'amour et de désir - Virginie Megglé

Mes illusions éparpillées à vos frontons, de mauvais tons,
Je hurle ma colère à ne pas taire, sur vos chemins de fonte.
Comme si l’horizon devait y perdre sa neuve et jeune plaine,
Souvent tu marches tout  droit vers ce que tu ne vois pas.

Toujours  transparente tu vas ainsi  comme une vérité
Un mur blanc et masque d’ébène qu’une enfant à colorié
Dans les vignes  veillent une maisson grande et aimante
Qand nos ailleux  y vivaient  sans façon   en bonne enfants

Illuminée au grand midi au fond de la campagne
Arrêtez donc votre marche et écoutez ce qui s’y dit
La panthère noire et le lion y sont toujours pacifiques
Le brouillard n’est rien et le songe y navigue à l’infini

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#178  26142

Re: Entre mère et fils, une histoire d'amour et de désir - Virginie Megglé

DANSE

Petit rat je danse toute la journée
Oh ! pas à l’opéra mais dans le grenier
Et des nuits durant je saute et fais la barre
De ses efforts il ne faut pas être avare

Petit rat j’espère qu’un jour prochain
On me remarquera que je prendrai le train
Pour monter à Paris montrer tous mes talents
Si l’on veut bien m’en laisser le temps

Car les conditions sont bien mauvaises
Pour pratiquer mon art tout à mon aise
Il me faut très souvent fuir
Si je veux éviter de me voir occire

Mais je suis petit rat dans le grenier
Les tapettes ne peuvent m’apeurer
Ni le chat m’inscrire à son déjeuner
Dans son ventre je ne pourrai plus danser.

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#179  26143

Re: Entre mère et fils, une histoire d'amour et de désir - Virginie Megglé

Non l’amour qui se tait n’est qu’une rêverie
Le silence est la mort, et l’amour est la vie
Et c’est un vieux mensonge à plaisir inventé
Que de croire au bonheur hors de la volupté !
Je ne puis partager ni plaindre la souffrance.
Le hasard est là-haut pour les audacieux
Et celui dont la criante a tué l’espérance
Mérite son malheur et fait injure aux dieux.

Une larme à son prix c’est la sœur d’un sourire

Musset

Ainsi donc, à mon gré je dépense ma paresse

La paresse bien utilisé avec un bon thé à la menthe c'est parfais aussi !

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#180  26144

Re: Entre mère et fils, une histoire d'amour et de désir - Virginie Megglé

Nouvelle année
pointe son nez
De nouveaux jours
Vers des amours
De nouveaux cœurs
Remplis de pleurs
Des nouveautés
De quoi parler
Des horizons
Et vos chiffons
Des impressions
Quelques passions

Un univers
Bordant la mer

De beaux tableaux
Et les cadeaux

De bonnes recettes
Et les emplettes

Quelques mots doux
Sans un tabou

Quelques tenues
Le cœur à nu

Les beaux voyages
Et leurs images

Des sentiments
Et des passions

Histoires d'amour
Et leurs détours
besoin de lire
Ou bien d'écrire
Se mettre au vert
Pour quelques vers

Vous accueillir
Pour vous offrir

De belles fleurs
Séchant les pleurs

Juste partager
L’ immensité
Qu’est
" L'amitié"

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#181  26145

Re: Entre mère et fils, une histoire d'amour et de désir - Virginie Megglé

Je me souviens de mon enfance
Et du silence où j'avais froid ;
J'ai tant senti peser sur moi
Le regard de l'indifférence.

Ô jeunesse, je te revois
Toute petite et repliée,
Assise et recueillant les voix
De ton âme presque oubliée

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#182  26146

Re: Entre mère et fils, une histoire d'amour et de désir - Virginie Megglé

À l’amitié, nul n’est tenu.
C’est ce que bien des gens me disent.
Pour ma part, j’en ai retenu,
Qu’il se dit beaucoup de bêtises.

Pourquoi conseiller la méfiance
Quand l’amitié te tend les bras,
Ou refuser de faire alliance
Avec ceux qu’on ne connaît pas ?

Ne dit-il pas, ce vieux dicton
Pas trop mauvais, à ce qu’il semble,
Que ceux qui ont même passion,
Bientôt se retrouvent ensemble ?

Si tu te cherches des repères
Quand on te parle sentiment,
Des amis, tu n’en auras guère
Tu vivras seul et pauvrement.

Mais s’il t’arrive d’y goûter,
D’en tirer toutes les saveurs,
Essaye alors de préserver,
Ce rare moment de bonheur.

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#183  26147

Re: Entre mère et fils, une histoire d'amour et de désir - Virginie Megglé

Dans un coin d’une pièce, un petit lit moelleux
Abrite un ange brun minuscule et gracieux.
Ah ! Divine enfant, de ta belle frimousse
Comme tes traits sont fins, comme ta peau est douce !

C’est un moment unique, un instant merveilleux
Qui flatte mes regards, m’en jette plein les yeux
Lorsque tu tends la main ou te tords sur ta couche
Pour quérir quelque objet à porter à ta bouche.

Tu es comme un joyau dans un écrin précieux
Toi le doux chérubin angélique et radieux
Arrivé sur la terre un jour bien monotone
Est-ce là surprenant : c’était un jour d’automne !

C’était par un temps triste, et franchement pluvieux
Que du Ciel tu nous vins et me trouvas heureux :
Toi le présent des Dieux, de Mère Providence
Tu as mis dans mon coeur une chaleur intense.

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#184  26148

Re: Entre mère et fils, une histoire d'amour et de désir - Virginie Megglé

Libre de penser, de rire et d'aimer
Profiter des secondes de bonheur,
De paix, de joie et savoir décider,
Sans aucune crainte ni peur.
Savoir dire non, oser, choisir,
Construire, entreprendre, bâtir.

Il suffit de peu de chose,
Un peu de courage si j'ose.
La vie n'est pas toujours facile,
Mais il suffit de redresser la tête,
D'affronter certaines adversités,
Avec beaucoup de sincérité.

Suivre son coeur, ses pensées,
Ses choix, ses propres idées.
C'est alors et seulement ainsi,
Que l'on devient acteur de sa vie.

Il faut dans la vie savoir aussi,
Tendre la main à celui qui en a besoin,
Sans espérer un retour... rien,
Juste se dire que c'était bien.

Alors s'installe l'harmonie avec soi-même,
Et ainsi le monde parait presque parfait !

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#185  26149

Re: Entre mère et fils, une histoire d'amour et de désir - Virginie Megglé

Par un beau jour, l’enfant naît,
Nature le libère à jamais !
Mère porteuse de vie sourit,
Fière de la création du petit !

Privé d’un tiède univers d’eau,
Bébé d’un cri plonge dans l’air !
Bel enfant est bienvenu au berceau,
Frêle esquif pour une vie sur terre !

Puisse la vie te donner bonheur,
Puisse joie te réchauffer le coeur,
Puisse l’outil de tendresse t’être ami,
Puisses-tu dans la félicité être admis !

Etrange passage qu’une naissance,
Gestation d’un petit rien en être vivant,
Union de peu de choses en peu de temps,
Pour que vie naisse de sa présence.

Fruit d’un amour, fruit des entrailles,
Ton premier instant rend des sourires,
Après un si long et rude travail,
Père et mère de bonheur te mirent.

Tu es tendre et belle, tu es si beau,
Prends l’amour des gens de bien,
Donne l’amour à tous les tiens,
Pour que bonheur soit à jamais ton vaisseau !

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#186  26188

Re: Entre mère et fils, une histoire d'amour et de désir - Virginie Megglé

Spirale


Oh, spirale à quatre centres
Où s’enroule en une seconde
L’ombre autour du firmament
Aux chemins lustrés au fil du temps

Oh !  spirale à quatre temps
Se reflète comme une ronde
Les mots à l’horizon profond
Dansent les jours allant féconds

Oh, vous ces instants de retenus
Vogue vers un monde inconnu
Toujours agréable aux colombes
Elles, les premières venues.

Chantons dans vos pensées
Nos baisers et nos peines passées
Les monts sont escarpés
Ses faons des nouveaux nés.

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#187  26190

Re: Entre mère et fils, une histoire d'amour et de désir - Virginie Megglé

Et l'enfant du futur
Nous dira quelque secret
Lorsqu'il jouera sur sa couche
D'étoiles.
Il est aisé de le tromper
C'est pourquoi
Donnons-lui avec tendresse
Notre sein,
Car la taupe silencieuse
Du pressentiment
Nous rapportera son hochet
Lorsqu'il se sera endormi

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#188  26191

Re: Entre mère et fils, une histoire d'amour et de désir - Virginie Megglé

Rêve

Ô rêve ! Heure sublime où tout devient possible,
Où le monde n’est plus qu’un objet dans ma main,
Où ma barque navigue au fil du lendemain,
Pourfendant les flots  de mon fleuve impassible.

Ô rêve ! Forme étrange, accès d’inaccessible,
Mon escalier d’azur comme un vivant chemin,
Mon espoir qui devient réalité soudain,
Mon tendre coeur, ma richesse indicible.

Ô rêve ! Mon repos, mon calme insoupçonné.
Toi, mon nouveau destin tout à coup proposé
Pour un autre départ vers une aube nouvelle.
Hier est ce qui est flétri au souvenir des regrets

Quand, voguant vers ailleurs au gré de mes désirs,
J’ai asséché mes pleurs et tu tous mes soupirs,
J'ai vu ce rêve fou, ma puissance éternelle !
Et le passé en silence revêt sa cuirasse de fer

Jamais on ne pourra lui arracher un secret

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#189  26192

Re: Entre mère et fils, une histoire d'amour et de désir - Virginie Megglé

Lorsque l'homme aura coupé le dernier arbre,
Pollué la dernière goutte d'eau,
Tué le dernier animal et pêché le dernier poisson,
Alors, il se rendra compte que l'argent n'est pas comestible

"pensée indienne"

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#190  26211

Re: Entre mère et fils, une histoire d'amour et de désir - Virginie Megglé

La psychanalyse n’aime pas l’affectif, elle trouve les sentiments nuisibles, c’est là son problème comme le passé aide à grandir et n’aggrave pas forcémement le présent.pour en faire de l’horreur du vécu au contraire on le range et en tire profit pour l’avenir, le deuil est partout chez Freud, les retours en arrière aussi, comme si les sentiments devaient avoir l’air culpabilisateur, tout le monde ne rêve pas d’être un demi dieu, partout il y a faute, honte, culpabilité , jamais joie, bonheur et harmonie avec soi, toujours des divisions, comme si l’être humain n’était qu’un dileme.
L’abandonique au contraire à la faculté de ne pas s’attacher si on lui laisse sa personnalité intègre créer des liens qui n’étaient pas en lui est introduire quelque chose qui ne connaissent pas à l’origine et devant lesquels il est démuni , le passé marche en continuité et non sans arrête à un premier trauma tel les mots nous servent à parler dans une continuité et non en retour au même point arrière, nous utilisons des mots passés pour expliquer le présent et ne parlons pas en babiche.
On ne construit rien sur des cendre et de l’oubli permanent, sur l a culpabilité et la violence, sur la guerre et la honte, on ne construit que sur du positif et non du négatif, la vie est faite d’un mélange des deux quand les psychanalystes arrêteront leur propre pessimiste alors le monde ira mieux dans l’inconscient collectif aussi.
Ceci est du à la période de guerre et d’après guerre dont il faudrait peut-être sortir car nos enfants actuels l’on largement dépassé et que pour bien travailler l’inconscient mérite que l’on en tienne compte.Ce sont leur collé des problèmes sur le dos qu’ils n’ont pas.
Tout est en pièces sans plus de cohérence et que la psychanalyse s’intéresse peu à ses propres moyens de pensée

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