la manipulation des gens au travers la soi-disant maladie "alcoolisme"

Bonsoir, je vous rappelle que le sujet de cette discussion était la manipulation des gens au travers la soi-disant maladie "alcoolisme". Nous allons étudier la possibilité de pouvoir utiliser une messagerie pour toutes les communications "privées" entre les membres. Ce sera peut être en place d'ici la fin de la semaine. D'ici là, soit : créez un sujet avec une problèmatique, soit : pas de réglement de comptes hors sujets

Merci

Admin a écrit:

Bonsoir, je vous rappelle que le sujet de cette discussion était la manipulation des gens au travers la soi-disant maladie "alcoolisme". Nous allons étudier la possibilité de pouvoir utiliser une messagerie pour toutes les communications "privées" entre les membres. Ce sera peut être en place d'ici la fin de la semaine. D'ici là, soit : créez un sujet avec une problèmatique, soit : pas de réglement de comptes hors sujets

Merci

Bonsoir Admin !

Nous ne sommes pas hors sujet : nous avons mis de l'eau dans notre vin !
Et ce n'est pas en vain ! ;O), ;O), ;O) !

Pour en revenir au sujet !
Les uns ont plus propension à la dépendance, paraît-il, que les autres : on nomme cela, les conduites "addicts" (addiction) !
Mais, georgesN a bien répondu !
Pourquoi soigner l'alcoolisme qui est dans le cas présent, un médicament ? !
Oui, il y a des dépressifs qui noient leur dépression dans l'alcoolisme.
Mon père a été alcoolique : il a commencé à boire en jouant aux cartes avec des copains etc. Il souffrait d'un alcoolisme névrotique ...
Les alcooliques que j'ai connus, notamment, en gastrohépatoentérologie arguaient toujours qu'ils étaient devenus alccoliques à la suite d'une séparation (d'avec l'épouse, la concubine etc.).
Impossible de savoir s'ils avaient été quittés à cause de leur alcoolisme.
De s'en prendre à l'Etat, permait peut-être de ne pas s'en prendre à soi !
J'aurais pu devenir alcoolique : je m'offrais des anesthésies mentales, le week-end, avec du Bordeaux. Et, lorsque j'ai mesuré que je ne supportais pas l'idée de ne pas avoir une bouteille pour le cas où (dépendance psychologique), j'ai arrêté net de m'approvisionner !
Je ne me serais jamais posée en victime de l'Etat et des viticulteurs !
Si l'on pense que l'Etat se paie en TVA sur les alcools, on évite de "l'engraisser" en en achetant !
Malheureusement, les alccooliques s'enlisent insidieusement et donc, il est difficile de les aider !
D'autant que l'alcoolisme est bien souvent l'arbre qui cache la forêt !
Marie-Thé.
Ps : au su de ceux que j'ai soignés (décompensation cirrhotique, ascite, encéphalopathie hépatique, hémorragies sur varices oesophagiennes "éclatées" etc.) en réanimation, il vaudrait mille fois mieux ne pas sombrer dans l'alccolisme !
Et, les soins au corps, dans ces conditions, ne sont que des "rustines" car on ne traite pas la cause de l'alcoolisme !