Citations de Freud
- Si tu veux pouvoir supporter la vie, sois prêt à accepter la mort !
- Au commencement des temps, les mots et la magie étaient une seule et même chose.
- L'homme énergique et qui réussit, c'est celui qui parvient à transformer en réalités les fantaisies du désir.
- De quelque manière qu'on s'y prenne on s'y prend toujours mal.
- Les grandes choses peuvent se manifester par de petits signes.
- Le bonheur est un rêve d'enfant réalisé dans l'âge adulte.
- Il existe infiniment plus d'hommes qui acceptent la civilisation en hypocrites que d'hommes vraiment et réellement civilisés.
- Le diable est encore le meilleur subterfuge pour disculper Dieu.
- Autrui joue toujours dans la vie de l'individu le rôle d'un modèle, d'un objet, d'un associé ou d'un adversaire.
- La joie de satisfaire un instinct resté sauvage est incomparablement plus intense que celle d'assouvir un instinct dompté.
- Chaque rêve qui réussit est un accomplissement du désir de dormir.
- Au fond, personne ne croit à sa propre mort, et dans son inconscient, chacun est persuadé de son immortalité.
- Quand on m'attaque, je peux me défendre ; mais devant les louanges, je suis sans défense.
- On a beau rêver de boissons : quand on a réellement soif, il faut se réveiller pour boire.
- Si l'humanité était capable de s'instruire par l'observation directe des enfants, j'aurais pu m'épargner la peine d'écrire ce livre.
- La liberté individuelle n'est nullement un produit culturel.
- Le rêve est le gardien du sommeil.
- L'activité sexuelle s'est d'abord étayée sur une fonction servant à conserver la vie, dont elle s'est rendue indépendante.
- L'inconscient s'exprime à l'infinitif.
- Après trente ans passés à étudier la psychologie féminine, je n'ai toujours pas trouvé de réponse à la grande question : Que veulent-elles au juste ?
- Le caractère normal de la vie sexuelle est assuré par la conjonction vers l'objet et le but sexuel de deux courants, celui de la tendresse et celui de la sensualité.
- La civilisation est quelque chose d'imposé à une majorité récalcitrante par une minorité ayant compris comment s'approprier les moyens de puissance et de coercition.
- La conscience est la conséquence du renoncement aux pulsions.
- Faute de pouvoir voir clair, nous voulons, à tout le moins, voir clairement les obscurités.
- Le premier homme à jeter une insulte plutôt qu'une pierre est le fondateur de la civilisation.
- Nous ne savons renoncer à rien. Nous ne savons qu'échanger une chose contre une autre.
- Nous ne sommes jamais aussi mal protégés contre la souffrance que lorsque nous aimons.
- L'humour a non seulement quelque chose de libérateur, mais encore quelque chose de sublime et d'élevé.
- Ce qui caractérise toutes les perversions, c'est qu'elles méconnaissent le but essentiel de la sexualité, c'est-à-dire la procréation.
- Le maintien de la civilisation offre la possibilité d'obtenir de chaque nouvelle génération une nouvelle transformation des penchants, condition d'une civilisation meilleure.
- Non, la science n'est pas une illusion. Mais ce serait une illusion de croire que nous puissions trouver ailleurs ce qu'elle ne peut pas nous donner.
- Le rêve est la satisfaction d'un désir.
- Les souvenirs oubliés ne sont pas perdus.
- S'il est librement choisi, tout métier devient source de joies particulières, en tant qu'il permet de tirer profit de penchants affectifs et d'énergies instinctives.
- Chez la fille, il n'est pas de désir plus grand que celui de protection par le père.
- On ne devient pas pervers, on le demeure.
- La psychanalyse par elle-même n'est ni pour ou contre la religion ; c'est l'instrument impartial qui peut servir au clergé comme au monde laïque lorsqu'il n'est utilisé que pour libérer les gens de leur souffrance.
- L'opposé du jeu n'est pas le sérieux mais la réalité.
- L'homme a un instinct sadique, et la femme un instinct masochiste, lesquels sont inconscients, donc incontrôlables.
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