Le pathologique et le "normal" !

a écrit:

la fin d'une analyse est une "guerison" ?

Ou la guérison ( et sans guillements à guérison) est une fin de l'analyse qui évite que la bouteille vienne à nouveau remplacer le psy quand l'analyse est finie... ?

Pour le problème de la bouteille l'expérience m'a montré qu'il n' y a qu'une seule solution (hasardeuse ?!) qui briserait ce lien (buveur-bouteille) c'est la remission spontannée c'est à dire que le symptome dsparaisse de lui-même un jour ou un autre sans aucune thérapie.Peut étre que c'est un trauma(qui poussait à boire) qui disparait de lui même ?!  Est ce possible en psychanalyse ? on voit souvent que cértains symptomes génants finissent par disparaitre sans aucune thérapie !

merci de vos conseils , je suis actuellement sur un forum d'"alcooliques" abstinents , ils m'ont mis en garde :pas un seul verre , c'est ce que je fais .J'ai consulté uniquement il y a 6 ans de ça un psychiatre que j'ai rapidement abondonné puisqu'il me demande de remplacer l'alcool par des antidepresseurs ...ça ne m'interesse pas , Puis j'ai opté pour la forum-thérapie j'étais sur psycho-ressources.com il n' ya plus de forums ils ont férmé neanmoins j'y avais appris beaucoup de choses surtout qu'il y avait un "bon" forum psychanalyse mais le moderateur n'accéptait pas des messages pérsonnels , uniquement de la théorie sur la clinique psychanalytique, c'était un site Freudien ., puis j'étais et je'y suis actuellemnt sur psychologies.com et enfin je viens de decouvrir psychanalyse-en-ligne j'éspère que c'est ici que mon "analyse" se términerait

Le problème ce n'est pas de se comprendre d'étre soi ou de ne pas l'étre mais de ne pas SOUFFRIRE , c'est en tèrme de souffrance que l'on définit la "norme" . si l'on souffre d'un cértain comportement , d'une addiction et que le traitement médicamenteux ne se présente que comme un ersatz ou un aggravant de ce comportement , il faut chercher autre chose ..et la cure vérbale , à mon avis, c'est la plus appropriée !
dans un forum j'ai parlé de mon abstinence , de mon "conflit" avec mon père pas tout à fait un conflit mais une incommunicabilité ..quelqu'un m'as dit dans le forum que s'abstenir c'est déjà "tuer" symbôliquement le père LOL alors que moi je buvais justement pour le "tuer" , le dissoudre dans un verre de vin   ou une bière
C'est quoi "tuer" le père en psychanalyse ?
Vaut-il mieux l'éviter ou essayer une éventuelle reconciliation avec lui ?
J'ai mes frères puis-nés qui semblent bien s'entendre avec lui mais pas moi , dés que j'essaye de discuter avec lui le courant ne passe pas , et c'est l'éléctricité dans l'air LOL
PS: excusez moi de la recurrence , de la fréquence de mes messages ..quand je suis un peu anxieux j'ai tendance à étre web-ssessif

"..alors que ces attentes vous appartiennent car elles vous sont propres." ça je le sais , merci de me le rappeler : en psychanalyse chaque cas est un cas !
bonne journée à vous aussi