Je cherche une solution

Bonjour, j'ai 20 ans et je suis étudiante troisieme année en médecine.
Depuis que je suis rentrée en deuxieme année, je ne cesse de me sentir nulle par rapport à tous ces gens autour de moi. Je vous précise que je suis arrivée 79eme sur une promo de 1000 personnes et que j'ai eu mon concours en un an.
Ce sentiment est apparu au tout début de l'année lors d'un stage. Je me suis retrouvée entourée de médecins et d'étudiants externes. Des gens très sympa et intelligents, qui avaient la patience de tout m'expliquer et de tout me montrer. Mais j'avais cette sensation de ne rien comprendre, d'etre complètement imperméable à ce qu'ils se tuaient à m'expliquer. Je finissais par faire comme si je comprenais alors qu'en fait ce n'était pas le cas. Suite à ce stage j'ai eu une petite semaine de passage à vide mais tt ca est finalement passé rapidement.
Un mois apres, j'ai vécu une déception amoureuse. Un garcon de qui j'étais proche et dont je me suis entichée qui ne partageait pas les même sentiments que moi. Là ca a craqué. Ce n'était plus un simple petit passage a vide, j'ai entamé un depression. Ca ne s'arretait pas, j'étais dans un état de letargie complet. Au bout de 2 semaines qui me paraissaient interminable tant mon état n'était pas en accord avec la situation, j'ai décidé d'aller voir un psychiatre. Avec celui ci nous avon fait un travail pdt deux mois. Puis j'ai eu un déclic et PAF tout allait mieux. J'ai repri gout à la vie, j'avais envie de rencontrer les gens, de rattraper le temps perdu de faire la fete... etc. Tout ce à quoi j'avais perdu gout pendant ces deux mois. J'ai dit ciao au psy et basta ! Lui m'avait bien prévenu qu'on avait pas réglé le probleme qu'on avait traité que la partie emergée de l'iceberg mais je ne l'ai pas écouté et j'arreté.
Ca a été la folie pendant un bon bout de temps, j'étais HEUREUSE. Je voyais la vie en drole et j'arrivais à m'interesser à pleins de choses. Je me sentais entiere.
Mais voilà, une nouvelle histoire de garcon. Et je suis retombée dans mes abimes.
J'ai perdu ma virginité avec un copain chez qui j'ai dormi une nuit comme ca en dépanage. On s'y attendait n l'un ni l'autre mais ca c'est fait et c'était sympa. Lui ne sait pas qu'il a été ma premiere fois. C'était un coup d'un soir et ca m'allait comme ca. Puis petit à petit, j'ai commencer à y penser beaucoup, un peu trop. Et ca a commencé à me ronger. On a recoucher ensemble à 3 reprises encore. Et a chaque nouvelle fois, le temps que ca mettait à me ronger était plus rapprochait.
J'ai reentamer une depression après avoir couché avec lui la troisieme fois. J'ai recommencé à me sentir minable, pourrie, merdique, ininteressante, pas drole... Bon vous connaissez la chanson du depressif. J'ai donc décidé de retourner voir mon psy. Ca fait un mois qu'on travaille ensemble et ma situation s'empire. Je pensais aller mieux mais c'est pire. Il a mi en evidence le fait que j'étais obsessionnelle. Il s'avere que c'est hyper vrai. Vu que aujourd'hui mon obsession c'est ma névrose, mon mal et les solutions dont j'ai besoin pour m'en sortir. Je passe mon temps sur les forums et me renseigner sur tout type de méthode plus farfelues les unes que les autres. Je refuse de prendre les AD qu'il m'a prescrit, je ne veux pas tomber dans cette spirale infernale.
Il y a beaucoup d'aspect à prendre en compte ds mon cas. Premierement que chaque élement déclenchant d'une depression c'est à un mec que je le dois. Ensuite c'est que ca s'étend à l'ensemble de ma vie. C'est à dire que je ne suis plus capable de rien.

Aujourd'hui c'est pire que tout. Je n'arrive plus à penser, plus à réfléchir, plus à parler. Je me coupe de ma vie sociale pour ne pas infliger aux autres ma personnes que je trouve ennuyeuse a mourir. Le travail que je fais avec le psy m'a amener à penser que j'étais atteinte d'un trouble de la personnalité. Il ne me l'a jamais dit, je ne lui ai jamais demandé mais je me suis foutue ca en tete et j'arrive pas à m'en dépétrée.
Tous les gens autour de moi m'impressionent par leur personnalités débordantes, leurs passions, leurs vivacités, leurs capacités à creer des liens. Personnellement je suis tout leur contraire, ceci me creant ce sentiment "d'infériorité", de ne jamais etre à la hauteur. Je suis devenue asociable. Mais je crois que je l'étais, c'était sous jacent à mon temperament mais la ca explose et ca se revele au grand jour. Je n'ai jamais rien à dire. Je me rend comtpe que mes amitiés n'ont jamais été durables. Je n'ai jamais tenue une relation longue avec un garcon. Je n'arrive pas a entretenir de bonnes relations avec mes parents. Je vis avec eux dans une relation de dépendance. Ils me soutiennent mais il n'y a plus d'échanges. Ils savent que je vais mal, mais si je n'étais pas leur fille il n'en supporterait aps tant. D'ailleurs ils ne me supportent plus.

Je souffre terriblement. J'ai 20 ans, je suis sencée vivre mes plus belles années et profiter. Je passe à coté. Et ca me rend folle. Je suis spectatrice de la merde dans laquelle je me fous. Et je souffre de voir mes "amis", enfin les gens qui m'entourent jouir de la vie. Je ne sais pas ou trouver la solution.
Je fais de la boxe, je me suis inscrite dans des cours de theatre (même si cela me stress car j'ai des angoisses enormes), je vais essayer le yoga. Je fais aussi de la danse. Je me force à aller en cours. Je vais en soirées. Mais chaque activité m'est devenue difficile. J'essaie de combler le vide que j'ai en moi mais ca marche pas (pr l'instant). Je croyais trouver avec mon psy la solution mais ce n'est pas lui qui me l'apportera. J'ai besoin d'autres avis. J'ai besoin de nouvelles pistes, de nouveaux conseils.