transfert douloureux

a écrit:

une sorte de piste.. à continuer de suivre,non?

Ok pour l'instant j'ai suivi.

a écrit:

et là, un avis bien favorable.. qui en plus vient de vous

Disons qu'il y a une partie de moi qui est d'accord pour continuer et une autre qui est très inquiète (c'est un euphémisme) et qui trouve que la douleur est trop forte, que l'image de mon psy et mes séances sont trop envahissantes et qu'au final pour l'instant je ne vais pas très bien. J'ai l'impression d'être trop centrée sur moi, J'ai du mal à me connecter à mes enfants, à me concentrer dans mon travail,  Je ne suis pas ancrée dans l'instant présent ......

a écrit:

a écrit:
Je ne suis pas ancrée dans l'instant présent ......

comme beaucoup à un stade de la thérapie..

Je crois que je comprends , le travail sur moi, mon passé, mon vécu,.... mais vous pourriez préciser

a écrit:

vous êtes vous demandé ou ce transfert avait véritablement opéré, sur qui, vers qui..
votre thérapeute n'est "que la représentation" , avez vous creusé cela avec lui?

Ma réponse est ....... NON
Ni avec moi, je reste dans le ressenti de l'élan amoureux. Je n'ai fait qu'essayé de repérer les déclencheurs.
Ni avec lui, bien que régulièrement il m'incite à en parler, je reste dans le vague, je fuis littéralement. J'ai carrément peur d'en parler avec lui.

Est-il possible que ce que je ressens puisse freiner la thérapie ???

Bon si je comprends bien votre réponse c'est OUI


Et donc,  d'un côté le transfert peut aider mais d'un autre côté il peut freiner la thérapie. Comment je peux savoir.....parce que moi, j'en dis pas grand chose
Pile ou face ?

Au passage merci pour vos réponses

a écrit:

Ha ! vous avez lu OUI OU??

EN fait j'ai compris OUI parce que vous parler de résistance...... Mais je sais aussi que ça peut être NON et j'avais écrit aussi :

a écrit:

Et donc,  d'un côté le transfert peut aider mais d'un autre côté il peut freiner la thérapie.

a écrit:

n'y a que vous et votre thérapie qui pourront vous donner la véritable réponse..

D'accord mais alors à quoi on reconnait quand le transfert freine une thérapie ??????????????? Mis à part quand le client arrête sa thérapie...ou que le thérapeute arrête de s'occuper de son client  ...

a écrit:

a écrit:
son client  ...

son patient..les clients sont dans les boutiques, les restaurants, etc..

euh ça se discute. Le petit robert dit pour client " celui qui requiert des services moyennant retribution" et donne comme exemple client d'un médecin mais aurait pu donner client d'un thérapeute. C'est vrai qu'il date un peu mon dictionnaire mais quand même.... et puis on dit bien même pour un médecin qu'il a une clientèle me semble-t-il et donc des clients.    Je ne sais pas insérer un émoticon mais si je le savais ce serait le clin d'oeil :-]]

a écrit:

vous avez un interlocuteur pour en parler .. votre psy !!

Ok j'en parlerai à mon psy (sérieux)

Mais quand même, de manière générale y a-t-il des types de transfert  du  client/patient qui freinent la thérapie ? Je ne sais pas si ma question est claire.

a écrit:

.. il est le mieux placé..

Ok vous bottez en touche.

Disons que j'attendais une réponse plus "engagée". Alors Possible ou pas possible ?

a écrit:

non, je respecte simplement le travail et ce qui est en place entre vous et lui!

........ qui s'appelle un transfert douloureux. La boucle est bouclée :-))   et votre réponse à le mérite d'être claire et donc la balle est dans mon camps ..... :-[ mais :-] aussi

Merci en tout cas pour vos réponses

ajuma

... de moi    mouai, je suis certainement sur le bon chemin