Melancolie

Ma première thérapie  était a l'age de 10 ans, soldé par une impasse, vers 18 ans j'ai passé près d'un an en hôpital psy, aucun dialogue, juste une camisole psychique( savant cocktail de neuroleptique).
La solution que vous me préconisez a deja été tenté a divers reprise, si il en resultait une evolution je n'en serais pas là a l'heure qu'il est. Une mélancolie stuporeuse   engendre une forte  inhibition motrice, d'où la difficulté d'une thérapie suivi, cela ne dépasse jamais 1 à 2 séance. A ça s'ajoute une grande inhibition qui fait que je suis incapable de supporter le regard de la personne en face de moi. Toute thérapie avec une personne physique m'est inconcevable, de meme je recherche juste quelques éclaircissements, un moyen de luter contre cette léthargie  qui s'est installé au file du temps, je n'en peux plus.