Puceau à 28 ans et alors ??

Bonsoir à tous.

Je ne suis pas un monstre, quelque nanas m'ont dis que je n'étais pas moche ou même pas mal !

Anciennement mon look pseudo rasta (avec dreadlocks) semblait (pour mon entourage) éloigner la gent feminine.

Aujourd'hui, après un passage chez le coiffeur, j'ai choisi un pseudo style politiquement correct qui n'a pas l'air d'attirer plus les demoiselles.

Je suis donc un PUCEAU !

Mes amis me le répète d'ailleurs à l'envie et enragent.

De tout temps, j'étais, et suis toujours, timide à la limite de la phobie, notamment en présence d'inconnu(e)s.

J'ai vu tous mes amis évoluer "normalement", se dépuceler, avoir des copines, se mettre en couple, et pour certains se marier et même avoir des enfants.

Et moi je suis toujours PUCEAU !

J'ai pourtant eu l'occasion grâce et mes amis et n'ai jamais réussi à trouver les forces et/ou le courage pour démarrer quelque relation que ce soit.

En règle générale même dans une situation "préméditée" ou les obstacles ont été aplanis au préalable, je perd tous mes moyens et n'arrive plus à regarder autre chose que mes pieds.

Depuis plus de 2/3 ans, la pression de mes amis a augmenté jus qu'à l"insupportable, devenant méchante et vindicative.

Il ne comprennent pas que je pense me sentir bien tel que je suis et que j'attends la princesse de conte de fée.

Ils prétendent que mon "état" : manque de relations féminines, sexuelles, et tout ce que cela entraine correspond à une attitude destructrice identique à celle d'un toxicomane sur la pente descendante, leur imposant de réagir.

Ils justifient l'augmentation de pression par l'horloge qui tourne et le temps qui fuit.

Leurs arguments principaux sont les suivants :

- Les conséquences psychologiques de mon état vont empirer au fur et à mesure de mon age et la difficulté du passage à l'acte augmentera jusqu'à l'impossible.
- je perdrais déjà d'après eux, une part de l'essentiel de ma vie, sans femme dans ma vie.
- mon comportement risquerai de me transformer en vieux garçon inintéressant, voire pervers, sans famille et sans enfants.
- mon manque de confiance flagrant serait directement lié à mon état.
- mon attitude commence à laisser des doutes sur mon orientation sexuelle.

Lors d'un weel-end à Amsterdam, ils ont dépassé toutes limites en essayant de me forcer par tous les moyens possibles y compris le lavage de cerveau et les menaces et hurlements, à avoir mon premier rapport sexuel avec une pute du quartier rouge.

Prétendant que s'était la seule solution à mon problème (une catharsis qui débloquerai la situation) étant donné que je serais incapable maintenant de séduire même une fille au courant de ma situation (ayant déjà refusé de le faire notamment avec une moche pucelle de 30 ans un mois avant).

J'ai bien évidemment refusé de confier mon pucelage à une pute hollandaise aussi belle soit-elle.

J'ai courageusement supporté les brimades et diverses humiliations à cet effet, ne trouvant pas le courage ni de fuir, ni de réagir, ni de passer à l'acte.

Mes amis pensent à mettre leur amitié en balance de mon passage à l'acte afin de me faire "réagir" plutôt que de continuer sans espoir à m'humilier !

Qu'en pensez-vous ?