Pédophilie Féminine : quel Tabou !

Bonjour

Il est impératif que vous alliez consulter. Vous n'êtes pas passé à l'acte heureusement, il est donc encore temps d'éviter cela. Dans le cabinet du psy vous serez écoutée, aidée et en aucun cas jugée. Vous vivez des pulsions qui trouvent leurs sources dans votre histoire de vie, il faut aller raconter cette histoire. En faisant ceci, vous vous apaiserez, vous sauverez la vie de possibles victimes et vous sauverez aussi votre vie. N'oubliez pas que les actes pédophiles sont, aux yeux de la loi, des crimes passibles des assises.
Dans les médias, on expose le drame des victimes, cela est naturel, jamais on ne compati à la souffrances des auteurs. De tels drames ne peuvent être que le résultat d'une longue souffrance. Allez consulter très vite!

Il est impératif que vous consultiez!
Aucune pensée n'est inimaginable, impardonnable, parce que; il ne s'agit que de pensées   et pour être pardonné il faut avoir commis une faute.
Ce qui est dans la tête peut être une souffrance, jamais une faute.
En consultant vous éviterez que vos pensées deviennent des fautes et guérirez de vos souffrances.

bonjour,
un instant j'ai vu votre "double" message comme un lapsus, je ne sais pourquoi mais cela m'a incité  à prendre un certain recul, tout en laissant libre cours à mon esprit j'aimerais me détacher sans me condamner hâtivement.

J’ai pu prendre une certaine distance face à ces quelques pensées qu’il m’a paru indispensable d’évacuer, puis en les lisant à nouveau, associées à vos interventions, il m’apparait que mes pensées, que je subie parce que : « pédophiles »    rivées sur « un enfant » me semblent familières
j’ai eu un instant ce sentiment que l’enfant avec un intérêt plus vif pour l’enfant fille, est sans nul doute une façon d’être face  à moi : c’est idiot cette réflexion ?

Ce qui tend à dire, qu’un instant je considère cette enfant non plus pour : "qui elle est, ce qu’elle est" mais plutôt, l’envie est de considérer cette enfant comme une chose sans importance, étonnement je suis absolument persuadée que tout ceci serait sans conséquence, oublié dans les tréfonds de son inconscience.
Dans ces moments où ces pensées envahissent mon esprit, je ressens principalement, non pas une attirance ou un plaisir sexuel lié à l’enfant, son corps par exemple me laisse totalement indifférente, aucun intérêt
mais la recherche est surtout dans la puissance, dans l’emprise, une force si facile, presque trop simple,
a l'image d'un chat épuisant et terrifiant une si petite souris aussitôt délaissée dès lors qu’elle s’abandonne à son triste sort.
J’ai eu le sentiment que j’étais dans une quête au sein même de mon inconscient, une recherche de sensations sur le plan psychologique, comme si je visionnais à nouveau un film pour mieux en saisir le sens, si confus. un sens qui m'échappe tant et qui semble si important

Je comprends que cette partie de moi si obscure, n’a pas du tout de compassion, agit mécaniquement pour son propre intérêt,
je sens alors : un moment hors du temps, déconnecté de la réalité,
je sens encore une part puissante combattre ces succubes

!!!!! Je ressens aussi dans l’instant l’idiotie de mes écrits

bonjour,
j'ai pu obtenir un rendez vous, et grâce à vous dépasser ce Cap. j'ai imprimé notre conversation, afin de ne pas reculer, ni modérer mes propos. Il les a lu avec attention, et ne m'a pas jugé comme je le craignais.
Nous avons pu beaucoup parler, il m'a dit sensiblement comme vous qu'une part s'identifiait et c'est cette part qui m'a déstabilisé. Puis m'a conforté dans l'idée que j'avais un esprit sain, et qu'il fallait que je libère certaines souffrances non exprimées.
Je vais poursuivre une nouvelle thérapie, et je tenais à vous remercier pour vos conseils, vous m'avez grandement incité à dépasser mes peurs, mes appréhensions.

merci infiniment