A propos du post "Croyez-vous réellement à la psychanalyse ?"

bonsoir,

je viens de vous lire. Merci de votre patience.
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Certes non , la psychanalyse n'est pas exempte de doute, en revanche JE n'ai plus de doute sur MA propre vie.  Je vais donc compléter :
"lorsque le doute est levé SUR/POUR/PAR sa propre expérience alors il n'y a plus de croyance mais un constat de soi, une mise en place de recherche personnelle accompagnée, une compréhension de soi et de l'autre, suivit d'une clarification appréciée à sa juste valeur.

N'hésitez pas me demander d'autres éléments si nécessaires, excellente soirée.

Je vous prie d’ignorer mon dernier message, ça n’est d’aucune utilité, il est même stupide

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Je voulais juste dire, qu’à mon avis, dans certains cas, où on a une conception de la vie assez différente, on ne devrait pas entretenir de faux espoirs.

Atteindre un certain équilibre dans l’appréciation de qui on est et de qui est l’autre, apprécier même la vie,  n’exclut pas de partir en explorateur forcée pour sonder les profondeurs de cet océan que je ne nommerai pas.

a écrit:

Pour quelle raison pensez vous que votre message est stupide ?

Pour deux raisons, je ne dis pas tout (pour le pseudo-anonymat) ce qui rend votre réponse très relative pour moi.
De plus j’y vois, par le défaut de précision, une incitation à la confusion à un lecteur (passant), je me dis que des personnes fragiles pourraient lire ce que j’écris et que ça pourrait les désorienter ..... 

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En faite, je vois ce que vous décrivez comme une sorte de bilan qui pour être réglé, "un conflit antérieur", doit être résolu, ce que je me demande, c’est comment se fait il que le thérapeute s’en sort indemne ?
Est-ce que le transfert se fait de l’inconscient du patient vers l’inconscient du thérapeute, et que ce dernier gère ce qu’il reçoit et n’est miraculeusement pas atteint par l’aspect négatif ?

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a écrit:

... bien que par voix de conséquence, la cure l'autorise et le permet bien heureusement

Ceci nécessite que toute personne (théoriquement) peut se débarrasser de sa souffrance (au cas où elle souffre) par la simple volonté et l’effort qui s’ensuit.

En faite, je trouve le raisonnement très axé sur l’individu, comme si la source du mal être ne pouvait venir que "de ce conflit" dans sa personnalité et que forcément avec de la bonne volonté … ça s’arrange – ça idéalise le groupe sur le compte de l’individu.

Et là je me demande si toute souffrance provient forcément d’un conflit enfoui dans l’inconscient de la personne ?


C'est comme si on a ajusté la valeur du bien pour toujours. (Ainsi, nous serions à quoi nous en tenir et nous serions tranquilles, on s’extrait à cet hasard qui semble tant déranger) – ça m’a l’air d’une "démarche très déterministe"

Peut être je dis n’importe quoi, mais c’est qui me vient.