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s'arreter ou fuir

#1  17947

catherinette
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s'arreter ou fuir

Bonsoir,

Lors d'un parcours pour trouver une solution à des douleurs chroniques, j'ai eu l'occasion de rencontrer une psychiatre. Elle m'avait alors dit qu'a priori je ne relevais pas trop de sa pratique.
N'allant pas trop bien 6 mois apres, je l'ai appele pour savoir si une seance etait possible. C'etait il y a plus d'un an. Ayant l'ipression que les peurs que j'avais alors sont moins genantes et de ne plus avancer egalement, j'ai evoqué l'eventualite d'arreter nos seances.
Elle m'a dit qu'effectivement il lui semblait que j'allais mieux mais qu'en fait elle n'etait pas capable de dire dans quel etat je suis exactement... il me semble qu'elle ne partage ses impressions avec moi que lorsque j'evoque la fin de la therapie avec elle. Elle a alors seulement a ce moment la dit que je comprendrais à quel point je ne savais pas gerer les choses avec ma mère ou comprendrais mes vues sur la maternite, .. (la vie ou presque) et d'autres commentaires assez tranchants.
Est-ce que cela reflete juste mon envie d'arreter la therapie? est-ce que ma psy joue au chat qui chasse sa proie, la pique de sa griffe pour la laisser repartir blessee? est-ce que cela fait partie d'une therapie classique?
Bref rien de bien dramatique mais qui m'a fait assez mal car comme une porte qu'on ouvrirait pour mieux vous la claquer dans la figure sans avoir pu meme crier smile
voila..

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#2  17972

Re: s'arreter ou fuir

bonjour,
et si vous preniez rendez vous avec quelqu'un d'autre dont "vous relévriez de sa pratique"?
et que vous pourriez voir régulièrement..


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#3  17980

catherinette
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Re: s'arreter ou fuir

merci pour cette reponse.
Je me dis effectivement, maintenant, que c'etait probablement biaisé dès le depart mais comme apres elle m'a garde en consultation...
Je n'ai probablement pas fait assez de demarches à l'epoque (etant en gros manque de confiance) et je suis allée au 'plus facile'. Mais je ne sais pas si j'ai l'envie ou le courage de recommencer maintenant après un an. J'ai comme un gout amer donc peut-etre peur ...
merci encore

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#4  17981

Re: s'arreter ou fuir

quel est le plus important pour vous: vos douleurs chroniques ou

a écrit:

le courage de recommencer

??? ... wink


Thérapeute

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#5  17985

catherinette
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Re: s'arreter ou fuir

En fait, après une certaine 'lutte' pour trouver autre chose qu'un medicament pour traiter les symptomes, j'ai pu trouver un soin qui traite un peu plus la cause physique au moins et donc de ce cote la ca va mieux.
Et du coup, comme ca va aussi un peu mieux dans la tete, je crois que j'avais envie de 'savourer' un peu au jour le jour (meme si je ne dis pas qu'il n'y a pas encore des choses à fouiller bien sur).
mais les dernieres reflexions entendues me font douter de ce mieux et je ne sais pas si c'est l'annonce d'une catastrophe annoncée.
en gros les remarques sur ma non vision du monde m'ont replongé un peu en arriere et m'ont un peu fait peur. alors est-ce que c'est juste le manque de confiance en soi surlequel on aurait jete de l'eau bouillante ou un vrai problème à regler.. meme si le probleme de manque en soi est bien sur à regler un jour ou l'autre. en gros je me pause la question du timing

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#6  17995

Re: s'arreter ou fuir

a écrit:

traiter les symptomes

de quels symptomes parlez vous, si ce n'est indiscret? et de quel genre de médicaments?


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#7  17997

catherinette
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Re: s'arreter ou fuir

Bonsoir,
merci de ne pas vous etre encore lassé.
c'est vrai que mon message n'etait pas tres precis des le debut. Je subis depuis qq années une nevralgie et le seul medicament qui a jamais reellement fait effet c'est le rivotril (j'avais fait toute la palette de l'arsenal avec le centre anti-douleur local et egalement des choses comme lyrica).
Je ne dis pas que mon terrain psychologique est des plus flamboyant depuis mon enfance mais ca peut aller globalement. Mais là j'avais fini par ceder sous la durée des douleurs...

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#8  18007

Re: s'arreter ou fuir

a écrit:

merci de ne pas vous etre encore lassé.

... pas de soucis cela fait parti de notre présence ici.. wink
qu'est ce qui a déclanché cette névralgie et à quel niveau du corps se situe t'elle?

autre question: pourquoi etes vous allée voir une psychiatre pour un problème de névralgie?


Thérapeute

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#9  18014

catherinette
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Re: s'arreter ou fuir

qu'est-ce qui a declenché cette nevralgie cervico-bracchiale, c'est un peu la grosse question car rien ne s'est passé de particulier à ce moment là que j'ai pu associé que ce soit choc physique ou mental. enfin si physique mais c'etait un peu plus d'un mois avant, ma tete a heurte violemment le toit de la voiture...
les douleurs cote bras gauche jusque dans la main ont progressé en durée et en intensite sur un an avant d'etre permanentes... physiquement, il semble que mon dos ait pas mal de raisons de 'lacher' pour differentes 'malformations', distortions,...
En fait la psychiatre travaillait en relation avec le medecin du centre antidouleurs qui me suivait et il m'avait proposé une consultation à trois pour voir s'il n'y avait pas à creuser de ce cote la aussi.
Les douleurs me pesant, je n'etais pas contre mais elle avait dit au medecin qu'à priori la cause n'etait pas psy. Un collegue du centre a également conclue qu'il fallait un traitement osteo pour combattre la cause physique ce qui a fini par marcher apres le second osteopathe et qq mois de traitement.
Maintenant je peux ne prendre qu'un peu de rivotril quand les douleurs viennent 1/2 fois par semaines. Le rivotril que j'ai pris en permanence pendant deux ans en etant obligée d'augmenter les doses à cause d'une accoutumance (22 gouttes) etait aussi difficile à supporter par ses effets secondaires. La memoire, la concentration un peu defaillantes par exemple. Mais etait-ce le medicament ou mon etat psychique serieusement attaque car tout devient difficile avec les douleurs en permanence, je ne le saurais jamais completement.. wink
En plus j'ai un aspect physique assez costaud et peu l'habitude de montrer quand j'ai mal (physiquement ou moralement) ce qui a laissé croire à certaines personnes que mes douleurs n'etaient pas 'vraiment' serieuses et par facilite j'ai eu tendance à me replier sur mon ami et moi par manque de force dans tous les sens. Donc à l'epoque, un suivi psy me semblait une bonne idée...

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