peut-on s'en sortir même si...

a écrit:

je voulais savoir si on peut se sortir d'un  choc post-traumatique sans prendre me médicaments.

Oui, c'est possible mais si le choc a été important, il est par contre difficile d'en sortir sans l'aide d'un professionnel.

a écrit:

Combien de temps peux durer  une choc  post-traumatique  en ayant été suivi par un professionnel,

Quel a été ce suivi et pendant combien de temps ?

a écrit:

d'autres jours il ne se passe rien.

Ces jours là, comment vous sentez-vous ?
Comment alliez-vous avant le traumatisme ?

Pour répondre à  Xavier à  ses 2 questions.
   1-  J'ai été suivi environ  1 an, J'allais juste voir le psy durant ce temps là.  Quand J'ai les souvenirs qui refont surface, je me sens  isolée, je ne me sens pas bien en dedans de moi. Je n'ai pas de description exacte, je sais que je ne me sens pas bien en dedans.  Avant que tous cela se produit,  J'étais une personne qui ne se posais pas 56 questions. J'étais toujours joyeuse, toutes problème avait  une solution.  Je ne m'en faisais avec rien. La belle vie quoi.  Maintenant  tout est négatif,  je ne vois plus la vie de la même façon et je me remet constament  en question.
 
  Pour répondre à Alain,

J'ai vécu le meurtre de mon patron. Quand cela c'est passé je n'étais pas là mais on m'a expliqué en détail comment cela c'est passé et maintenant  tous est là dans ma tête. Je sais qui a fait ca, ou cela c'est passé exactement et j'arrive à voir mon patron les points et les pieds liés coucher sur le coté ne bougeant plus.  J'ai tus les détail en tête et J,ai des flash de la scène en tête.

Je l'ai déjà fait mais faut croire qu'il n'y a rien de règler.

C'est là le problème, trouver le bon.  Mais est ce normal après 5 ans?  Ayant changer de ville et d'emploi  je me rends compte qu'il y a encore des répercutions dans ma vie quotidien.  Si cela fait au dessus de 5 ans et que rien n'est règler  est ce que cela veut dire que je vais devoir prendre des médicaments.   Je ne veux pas en prendre, j'ai toujours trouver que c'était une sorte de béquille et qu'à la moindre chose les médicament est une roue de secours, on reste accrocher à ça.

Si on n'a pas vraiment les moyens de s'en payer un bon, je vais me ramasser encore avec quelqu'un qui ne fait que panser le mal.

Ben... je me dis que si après 5 ans la douleur est aussi pénible qu'avant et que les flash du meurtre sont encore aussi présent,    les  scéances  que  j'ai eu avec un Psy pendant  près d'un an,  ç'à n'a fait que apaisée la douleur.

Bonjour,
       Premièrement  je ne suis pas une personne impressionnable  et le ON  c'est mon autre gérant qui m'a dit comment c"était passé le meurtre, qu'est ce qui se sont dit ( le meurtrier et mon gérant.     Je travaillais dans une réserve  pour un magasin genre  général. Il y avait  le gérant  du magasin, le gérant d'épicerie et moi qui était en formation pour devenir gérante d'épicerie.   Le jeune de 18 ans a tué le gérant du magasin et le gérant d'épicerie m'a dit en détail  comment ç'à c'était passé. C' à c'est passé dans la maison du gérant, je connais par coeur l'endroit, je vivais à coté. Mai quand cela c'est produit J'étais dans un autre village  et c'est là que le gérant d'épicerie m'a compter toute l'histoire, de comment le gars s'en est  pris, l'échange verbal qu'il y a eu. Le  gars est  dans un hopital psy et il a téléphoné au magasin et le gérant d'épicerie lui a demandé comment cela c'était passé et il lui a dit.

Vous ne pouvez pas savoir toutes les atrocités que J'ai entendu sur cette réserve, parfois c'est à en faire frissonner dans le dos.  Et tous les trucs venant de leurs part, J'ai dû me faire un mur pour devenir imperturbable.  J'ai été  déconnecté de la réalité pendant un bon boute.
      Apprendre  qu'il y a un suicide par mois par des jeunes de 11-12 ans en montant,  me faire menacer de mort 2 fois. Les voir chaud et drogués  presqu'à tous les jours.