mon fils de 22 ans détection d'une immaturité psycho-afffective

bonjour,
Voilà j'ai réussi à me connecter aujourd'hui. Je vous remercie de votre réponse, cela laisse à réflechir. En effet, on se sent souvent désarmé devant son enfant.
Vos réponses m'aident un peu à y voir plus
clair. Vous avez raison, il cherche des excuses, car quand il veut il peut.
Il est finalement parti dans son studio, et il revient la journée pour se
connecter sur internet, sans nous dire même pas bonjour et au revoir. Nous
avons essayés maintes fois de dialoguer, et cela est impossible avec lui, il
se bouche les oreilles et s'en va. Je lui ai déjà dit d'aller consulter un
psy, mais il ne veut pas non plus, depuis dailleurs son adolescence, je
l'avais mené chez un psy, et il ne voulait plus y retourner. Et
dernièrement, il y a été juste pour avoir un certificat de réforme pour
l'armée. Il faudra bien qu'il s'habitue à se débrouiller seul. Je lui ai proposé de l'aider, lui ai donné des conseils, mais il ne veut jamais rien prendre venant d'une autorité. Il écoute par contre certains copains, il est assez influençable. Nous allons bien voir ce que cela va donner, car comme il ne veut pas retourner au travail, il est convoqué à l'armée pour le 3 septembre afin de rendre compte de sa situation, je ne sais si il ira. Il nous a dit qu'il s'en foutait de toute façon, qu'on ne pourrait rien lui faire. cordialement

bonjour,
Je vous remercie. Vous savez, mon fils en partant m'a culpabilisée en me disant qu'il partait que mon calvaire allait cesser, que je devais être heureuse etc... bon j'ai encaissée, il est parti. Ce qu'il ne me plaîrait pas c'est qu'il revienne encore chez nous car ses ennuis font qu'il serait obligé de revenir. Nous l'avions une fois dit alors qu'il avait 18 ans passé, que s'il n'était pas content de nos règles, il n'avait qu'à partir. Il a pris au mot nos paroles, il est parti 5 mois chez sa soeur ainée à Marseille, et puis comme elle ne le supportait plus, il me téléphonait et me disait que cela n'allait pas, qu'il ne s'entendait pas avec sa soeur. Je lui ai dit naturellement de revenir, il m'a répondu : "tu sais j'ai changé, tu vas t'en appercevoir, j'aide à la table, je range les affaires etc.." j'étais satisfaite, mais depuis ce temps là, c'est encore pire, il nous a pris dernièrement comme ses boys, et il cela le dérangeait pas du tout de nous traiter ainsi. voilà, bon il est parti, j'espère pour de bon. Il est très difficile de parler ainsi pour une maman de son fils. Si vous saviez ce que j'ai aussi enduré avec mes deux autres filles d'un autre mariage, toute une vie de culpabilisation, mais cette fois-ci c'est leur famille paternelle et une partie de ma famille, qui les avait conditionnées afin qu'elle perçoive l'image de leur mère comme celle d'une mère indigne de respect et d'égards. Enfin, je n'irais pas plus loin, madame, je pourrais écrire un livre. Le problème, c'est que je suis très malade depuis un an et demi, je suis invalide d'une jambe, j'ai eu toutes sortes de complications, les docteurs cherchent de quoi je souffre, maladie systèmique ou autre voyez vous et je dois tout de même prendre mes antidépresseurs, et supporter tous ces coups. amitié à vous