Faire le deuil

Bonjour,

a écrit:

hum, petite info en passant : le premier a avoir qualifié l'alcoolisme comme une maladie est Monsieur Bill il y a fort longtemps,

Oui, il travaillait comme courtier en bourse. Pour cela il était très qualifié pour parler maladie scientifiquement :-)
Et il faisait partie du groupe d'Oxford.
Groupe d'évangélistes intégristes qui avait comme principe la confession publique. D'ou j'en déduis la pratique des témoignages en séances fermées et publique.
Donc la maladie a été crée de toute piece, par un courtier en bourse. Marrant.et un docteur:
Le dr Bob, Oxfordien égalament, mais aussi ce bon dr Silkwort

Ils ont donc créé une maladiee, et pire, une maladie incurable, que seul leur force supérieure, Dieu l'innomable, et qui a le pouvoir de nous mettre a l'abri, a la utime et incontournable condition de se soumettre a ses commandements.

Au sujet des Narcotiques Anonymes, ils utilisent le même programme, religieux si il en est. On peux mettre dans la même veine, ou le m^me panier, les boulimiques anonymes, les fumurs anonymes .
Puis leurs proches, aves les alateen, alanon, narco sais pas quoi et enfant de familles dysfonctionelles également.
Tout cela sous le même programme de soumission a l'être suprème.
Sous peine de rechute et donc d'enfer.

Une merveilleuse pensée unique en train de conquérir le monde non ?

Au sujet des:

a écrit:

à l'époque nos dirigeants actuels et les patrons de gros groupes pharmaceutiques n'étaient même pas nés...

Les dirigeants de ce que doit penser et de comment doit vivre le petit peuples sont nés bien avant les groupes pharmaceutiques. Ces groupes ne sont que des outils d'une nomenclatura bien plus haute et dangereuse.
Par exemple j'ai découvert ce lien et un livre, qui m'ont mis au clair ce qui fementait dans on esprit et pas que dans le mien.

Quand a:

a écrit:

très opposable à :

a écrit:
L'alcool, les drogues sont des médicaments d'abord.

... bien sur une interprétation ou incompréhension de ma part je n'en doute pas...

pour reprendre le début de votre post:


a écrit:
En effet, mes plus mauvais jour, je les ai connus abstinent. En buvant ou me droguant, je n'ai jamais eu d'angoisses, ni d'envie de suicide, ni de phobies, ni de crise de paranos

Je ne vois aucune contradiction dans ce que je dis.

L'alcool, et les drogues et les médicaments sont bien des outils pour fuir un mal de vivre. J'emploie le mot maladie pour faire court. C'est dommage car c'est mensonge. Le mal de vivre existe depuis toujours et on manipule les gens en leur fesant croire qu'ils sont malades alors que c'est le système qui l'est et crée un mal être tel que des gens sont prête a griller leur vie a petit feu pour le fuir. Deviez lire histoire du mal de vivre de Georges Minois tient :-)

Quand a moi, avec mon vécu, mes enfants dont 2 sont dans les produite, et des maladies, elles amenée par les produits, Hépatite et sida, je pense que je vais très bien. et que si je rue dansles brancart, c'est parce que j'ai encore du coeur et de la trippe. Moi le détachement, je pratique très peu. Juste quand la colère me domine un peu. Mais je me rattache assez vite a ma lutte contre les mensonges des bien-pensants.
Je suis assez fier de mon chemein parcouru.
Souvent on me conseille d'écrire. ben... pas envie.
démilir les illusions attire la foudre des ignorants. et cette foudre là, ben j'ai subi, gouté et je m'en passe.
Voila. Je n'irai pas plus loin, car le net est aussi une addiction. Je n'aime pas le jeu du sauveur non plus, car trop pratiqué.
Bonne continuation