anonyme — 05-11-2008 09:42

Je voudrai savoir ce que vous entendez par "vampire". J'ai un peu cherché sur internet mais je tombe sur des sites d'ésotérisme. Le peu que j'en ai lu est que ce sont des gens qui épuisent psychologiquement leurs victimes .
Dans un contexte incestueux, en admettant que ce soit le père le vampire, qu'est ce que ça sous entend?

georgesN — 05-11-2008 10:09

tous les mythes correspondent à des structures psychiques; Œdipe en est le symbole parfait. A vous donc de voir ce que le mythe du vampire vous donne à penser, sachant que le sens symbolique du vampire est d'être celui qui doit absorber le principe vital d'un vivant pour survivre lui-même. La psychanalyse est le monde du symbole. Les symboles forts sont des archétypes. Le vampire en est un.(en plus il y a clairement qq chose de sexuel dans le geste, le baiser du vampire)

anonyme — 05-11-2008 13:06

a écrit:

"sens symbolique du vampire est d'être celui qui doit absorber le principe vital d'un vivant pour survivre lui-même"

les implications sont impressionnantes...Cela veut-il dire que si mon père ne me vampirise pas, il ne peut survivre? S'il se suicidait, en qui je serai responsable? Est ce pour cela que tant que j'ai été sous son emprise il a fait du chantage au suicide? Parce qu'il pensait vraiment que sans moi il ne pouvait survivre? Quelle lourde responsabilité il m'a mis sur les épaules....Il a mis sa vie sur mes épaules.....parfois je me demande comment je fais pour m'en sortir dans tout ce "b....."
Quel est l'implication sexuelle dans le vampirisme?

georgesN — 05-11-2008 13:35

"Cela veut-il dire que si mon père ne me vampirise pas, il ne peut survivre? S'il se suicidait, en qui je serai responsable?" clairement NON. Un vampire -pardon: un pervers!- a des proies d'élection mais peut parfaitement se satisfaire de menu fretin. Par contre être le séducteur qui transgresse le tabou de l'inceste: quelle jouissance!...
Difficile d'établir la cause de son chantage au suicide mais l'esprit humain est très complexe. C'est très probablement sa façon de vous avoir à merci .

anonyme — 05-11-2008 22:20

a écrit:

séducteur qui transgresse le tabou de l'inceste: quelle jouissance!...

Je ne suis pas sûre que ce soit tant une réjouissance pour les pères incestueux...Est ce que ce ne sontpas des pulsions? Qu'est ce qui fait qu'un pervers:vampire passe à l'acte. De donner un nom à des gens, ça rassure, et si c'était plus compliqué?

penau xavier — 05-11-2008 22:23

a écrit:

et si c'était plus compliqué?

Ca pourrait bien l'être, en effet.

anonyme — 05-11-2008 22:50

Je suis persuagée que c'est plus compliqué. De dire que les pervers ont une structure à eux, c'est se rassurer quelque part et se dire que l'on ne peux pas en être un, ça aide aussi à s'en défaire....C'est oublier toute l'histoire familiale antérieure. Ce qui n'excuse en rien quoique se soit, mais ça aide à comprendre. Je pense que l'inceste est une histoire familiale qui inclue plusieurs générations et je pense aussi que les gens qui n'ont pas fait le point sur l'inceste s'attirent inconsciemment. Pourquoi remettre en cause quelque chose qui sévit depuis des générations et qui par la même semble normal....tant que personne ne révèle et ne libère la parole.....

a écrit:

Par contre être le séducteur qui transgresse le tabou de l'inceste: quelle jouissance!...

Décidément cette phrase me gène beaucoup...
etes vous bien au clair par rapport au problème de l'inceste...On dirait que quelque part ça vous attire....En tout cas ça me met mal à l'aise....

georgesN — 05-11-2008 22:53

les termes demandent à être précis: je n'ai pas dit "ré jouissance" mais jouissance ce qui est tout autre chose.Et de fait, ça s'apparente à la pulsion; simplement dans un langage voisin.
"donner un nom à des gens, ça rassure" Comme de donner un nom à un processus (identification à l'agresseur par exemple!) ? Mais le champ du symbolique, des mythes est utile à la pensée, alors que donner des noms à des symptômes sert à communiquer mais fige la pensée. Un vampire ça n'existe pas, par contre l'idée du vampire éclaire assez la notion de pervers.

penau xavier — 05-11-2008 23:01

être le séducteur qui transgresse le tabou de l'inceste: quelle jouissance!...
De fait, ça ne l'est pas forcément, et c'est souvent bien plus complexe.

a écrit:

Je pense que l'inceste est une histoire familiale qui inclue plusieurs générations

Parfois oui et parfois non, l'inceste, comme bien d'autres déviances et bien d'autres pathologies, est "multi-forme".

anonyme — 06-11-2008 08:30

Donc chaque histoire et c'est une vérité de la Palisse que je dis, est unique même si celle des autres peut nous aider à reconstruire notre histoire.
Quels sont les points communs autre que la mort entre le vampire, la poussière, l'araignée, sa toile...

anonyme — 06-11-2008 18:37

GeorgesN

a écrit:

les termes demandent à être précis: je n'ai pas dit "ré jouissance" mais jouissance ce qui est tout autre chose.Et de fait, ça s'apparente à la pulsion; simplement dans un langage voisin.

Moi je pensais à quelque chose de beaucoup plus terre à terre et qui est très dérangeant. J'espère que vous n'avez pas été véxé par mes propos......
S'il y a une chose que les gens comme moi ont du mal à faire, c'est confiance....

georgesN — 06-11-2008 21:20

:)

anonyme — 06-11-2008 21:49

a écrit:

http://www.psychanalyse-en-ligne.org/forum/img/smilies/smile.png

Vous n'ête pas fâché alors?
Ouf!
J'ai vraiment sale caractère quelque fois....

Je suis carrément terrifiée en ce moment....
J'ai l'impression que je ne vais pas arriver à gérer tout de front. Je ne me sens pas du tout efficace et plutôt épuisée.
Je ne peux pas en dire plus ici, il y a trop de gens qui lisent. Je vais m'en tenir à des questions d'ordre "encyclopédie médicale" du genre "identification à l'agresseur".....
Bonne soirée.
Je réfléchis à mon prochain sujet......

anonyme — 06-11-2008 22:08

C'est la nuit que les vampires sévissent, quand tout le monde dort, que la maisonnée est plongée dans le silence et l'obscurité. Les portes s'ouvrent tout doucement, les pas feutrés se rapprochent de la proie pétrifiée de terreur....

penau xavier — 06-11-2008 22:37

Et c'est aussi la nuit que les anges veillent parfois

anonyme — 06-11-2008 22:44

Ces nuits là, les anges m'ont oubliée ou ont fait un détour pour ne rien voir....

anonyme — 06-11-2008 22:50

Ces nuits là, les anges n'étaient pas là pour moi.....
Ils étaient occupés ailleurs, avec les plus chanceux....
Personne pour me sauver, personne pour me croire.....
Seule, seule, seule, face à un géant......

penau xavier — 06-11-2008 22:57

Et aujourd'hui ?

anonyme — 07-11-2008 07:31

Aujourd'hui?
Si les anges sont là et me tiennent la main quand je suis seule dans le noir, même si je ne vois que le noir, je sens leur mains bienveillantes dans les miennes....

anonyme — 07-11-2008 07:34

Les vampires sortent le noir de leur yeux la journée....et guettent la nuit....guettent leur proie....Le jeu est facile......Tellement facile........Avoir une petite proie à sa merci.....

anonyme — 07-11-2008 23:14

Bonsoir M. Penau,
j'ai vu dans votre profil que vous faites de l'hypnose Ericksonienne. Que me conseilleriez vous, sans aller jusqu'à l'hypnose, pour favoriser le retour des souvenirs?
J'ai lu que l'autohypnose était déconseillée pour les personnes dans mon cas. Il y a urgence, je veux me prouver à moi même que tout ce que j'ai vécu c'est bien passé. Et pour cela, j'ai besoin encore de plus de souvenirs, même si c'est dur, je veux me rappeler....Vous connaissez sûrement des méthodes que je ne connais pas. Merci pour votre réponse....

penau xavier — 07-11-2008 23:51

Avant de vous répondre, pourriez-vous d'abord donner suite à ceci sur un autre de vos post :

a écrit:

Mon passé vient de m'être révélé

Est-ce que vous pourriez nous en dire un peu plus sur le "comment" ce passé vient de vous être révélé ?

anonyme — 08-11-2008 01:07

Non, désolée, j'ai besoin de me protéger un minimum.
J'espère que vous pourrez me répondre quand même.
Bon Weekend

penau xavier — 08-11-2008 12:58

a écrit:

J'ai lu que l'autohypnose était déconseillée pour les personnes dans mon cas

C'est tout à fait juste.

a écrit:

Vous connaissez sûrement des méthodes que je ne connais pas

Pas de méthode simple et que vous puissiez utiliser seule, désolé.

anonyme — 08-11-2008 15:32

Bonjour,
Pour M.GeorgesN
j'envoie ce message car je me sens mal à l'aise vis à vis de M. GeorgesN. Je ne sais pas si je vous ai blessé par mes paroles, si j'ai eu raison de me sentir agressée par cette phrase "séducteur qui transgresse le tabou de l'inceste: quelle jouissance!...".
Je n'ai pas spécialement mauvais caractère et je regrette d'avoir dit cette phrase.
Je ne comprends pas pourquoi vous m'avez envoyé des messages plusieurs fois par jours et maintenant , plus rien. Si c'est parce que vous croyez que je m'attache trop à vous c'est faux, je sais comment me détacher des gens.
J'aimerai qu'au moins vous m'expliquiez. est ce que vous vous êtes senti agressé? Ou est ce que vous n'avez plus le temps? je ne comprends pas. Je me demande si j'ai bien fait d'écrire ici. Au début je voulais que se soit fait d'une manière impersonnelle puis ça a dérapé. Je suis terrifiée que mes propos reste ici, écris, sans que je n'ai plus aucun pouvoir sur eux. Je voudrais tout effacer comme je voudrais recommencer à effacer toute mon enfance. Mais quel prix à payer....!
peut-être qu'observer des gens comme nous, vous fait avancer dans vos études, mais nous c'est de notre survie dont il est question.
Je voudrai juste que l'on m'explique.
Une dernière question, est ce que vous avez fait exprès de prendre comme pseudo GeorgesN? Quand on le prononce je viens de me rendre compte que ça fait "GeorgesHaine".

Pour M. Penau
Ce que vous me dites, pour moi, veut dire que je serai toujours dépendante des autres? Est ce qu'il n'y a pas des méthodes de relaxation qui permettent ou favorisent la remontée des souvenirs?
J'ai besoin d'agir, de me sentir puissante face à cette enfance écrabouillée dans le silence...Ma mère me disait au téléphone il y a 15 jours "mets toi à ma place" . C'est sa réponse face à l'inceste? Je ne crois pas qu'elle ait conscience de ce qu'elle dit.

J'ai le sentiment d'être inhumaine. D'être sans émotions. Je ne comprends pas les victimes d'incestes qui sont dans la dépression, je ne suis pas dépressive, je n'y arrive pas, Je ne suis pas complètement écrabouillée, j'ai une certaine force et pourtant j'ai été quand même une victime. Est ce qu'on a le droit d'être une victime même si on n'exprime pas grand chose, même si on ne fait pas de dépression. J'ai  l'impression que les gens ne me croient pas parce que je ne suis pas assez "cassée"....Et ceux qui souffrent sans s'exprimer ont-ils le droit d'accéder au statut de victime ou c'est celui qui pleurera le plus fort qui aura ce droit?
Pendant des années, j'ai supporté des poids énormes sur mes épaules. Que je sois fragile ou pas, solide ou pas, l'univers entier s'en fout. C'était mon destin dans cette famille de tout porter. Mais je ne me suis pas écroulée. Pour que l'on me croit, pour que l'on écoute ma souffrance faudra t'il que je fasse une méga dépression ou une méga connerie? Est ce qu'il n'y a que ces gens là que l'on écoute?
On parle toujours des gens qui crient. Et les enfants sages que l'on oublie dans un coin parce que justement ils sont sages, qui les écoutent? Ceux qui ont du mal à parler, dont chaque mot est arraché au mur bétonné, ont-ils droit à être reconnus dans leur souffrance? Je ne hurle pas, je ne pleure pas ou très rarement et quand je pleure c'est violent....Je ne veux pas avoir la médaille de celle qui aura le plus souffert, ni de celle qui a droit à des égards parce qu'elle a souffert, mais juste que l'on prenne en compte, que l'on "valide" ma souffrance...
les anges n'étaient pas là quand j'étais petite....les anges n'étaient pas là pendant mon adolescence, mon âge adulte. Personne ne m'a tendu la main, personne ne m'a conseillé d'aller voir un psy. Et moi j'étais loin d'imaginer que j'en avais besoin. Comment peut-on s'en sortir quand la souffrance paraît normale, une composante normale de la vie?
Une adulte a vu que quelque chose ne tournait pas rond, que j'étais trop froide, trop insensible, mais personne ne l'a écouté....Pourquoi se préoccuperait-on d'une enfant qui ne pose pas de problème, qui est toujours sage?
Pourquoi faut-il toujours que l'on écoutent ceux qui crient, ceux qui pleurent, ceux qui dépriment. Moi je ne suis pas comme ça. Trop solide pour m'écrouler, trop fragile pour me rappeler....Que dois je faire?

penau xavier — 08-11-2008 19:08

a écrit:

Est ce qu'il n'y a pas des méthodes de relaxation qui permettent ou favorisent la remontée des souvenirs?

Pas que je sâche mais ça ne veut pas dire qu'il n'y en a pas. Par ailleurs, ceci : "trop fragile pour me rappeler..." laisse à penser qu'il serait prudent et protecteur pour vous d'être accompagnée dans votre travail de mémoire.

a écrit:

personne ne m'a conseillé d'aller voir un psy. Et moi j'étais loin d'imaginer que j'en avais besoin.

Et aujourd'hui, qu'en pensez vous ?

a écrit:

que l'on "valide" ma souffrance...

Que nous prenions le temps de vous répondre sur ce forum n'est-il pas une validation de votre souffrance ?

a écrit:

je ne suis pas dépressive, je n'y arrive pas,

Le souhaiteriez- vous ?

a écrit:

Est ce qu'on a le droit d'être une victime même si on n'exprime pas grand chose, même si on ne fait pas de dépression

Disons qu'être victime est surtout un état de fait bien plus qu'une question de droit à être mais encore faut-il que la victime s'exprime (et ce n'est pas toujours facile loin s'en faut) pour que cet état de fait puisse etre connu/reconnu.

a écrit:

Que dois je faire?

A mon sens, vraiment, vous faire accompagner par un bon professionnel si ce n'est pas déjà le cas.

anonyme — 09-11-2008 01:23

Merci M. Penau pour votre réponse.
Elle a le mérite de remettre les choses à leur juste place et je vous en remercie encore.
Je vais vous répondre point par point.

a écrit:

"Par ailleurs, ceci : "trop fragile pour me rappeler..." laisse à penser qu'il serait prudent et protecteur pour vous d'être accompagnée dans votre travail de mémoire."

Vous avez raison. Je ne peux pas me permettre de jouer. A chaque pas j'ai l'impression que je vais tomber. Il faut que j'aille doucement, sinon c'est la souffrance et le néant....

a écrit:

Et aujourd'hui, qu'en pensez vous ?

je suis suivie depuis plusieurs années...J'ai beaucoup "appris" la vie. Mais là c'est dur car je suis en confrontation directe avec mon père. Il sait que je commence à me rappeler, ne veux pas m'aider, ne pense qu'à sauver sa peau alors qu'il y a prescription et qu'aux yeux de la loi il ne risque rien. Je pensais qu'il m'aimait plus que ça, qu'il voudrait m'aider.
Je crois que je suis dans la partie la plus dure de ma thérapie, mais en même temps, il n'y a qu'en passant par là que je serai libérée.
La difficulté est à la hauteur du traumatisme.
J'avais honte d'aller voir un psy. Je ne voulais le dire à personne. C'était comme un secret honteux. De savoir pourquoi j'y vais maintenant, quel est le traumatisme majeur qui a fait tout déraillé le reste, je me dis que je ne dois plus avoir honte, que j'ai de la chance d'avoir connu ce psy, que si ça prend du temps, c'est que c'est très grave.

a écrit:

Que nous prenions le temps de vous répondre sur ce forum n'est-il pas une validation de votre souffrance ?

Je n'avais pas vu les choses sous cet angle. Je ne savais même pas que l'on pouvait dire "valider" pour une souffrance. C'est sorti comme ça. J'avance en même temps que je parle. Mais, si c'est vrai, vous m'avez lue, vous avez pris le temps de me répondre, souvent, alors que rien ne vous y oblige. Oui, vous m'écoutez, vous me croyez, vous me prenez au sérieux, merci pour tout cela.

   

a écrit:

je ne suis pas dépressive, je n'y arrive pas,
Le souhaiteriez- vous ?

Parfois, pour rester chez moi et ne pas avoir à me confronter aux autres...
Mais se serait une fuite et ce n'est pas un jeu. La dépression me fait très peur en fait.
 

a écrit:

Disons qu'être victime est surtout un état de fait bien plus qu'une question de droit à être mais encore faut-il que la victime s'exprime (et ce n'est pas toujours facile loin s'en faut) pour que cet état de fait puisse etre connu/reconnu.

Là vous avez touché un point sensible. Il n'y a que quelques mois que je sais que j'ai été une victime. Avant, je ne le savais pas. Je parlais mais je ne le savais pas. je ne voulais pas le savoir.

a écrit:

A mon sens, vraiment, vous faire accompagner par un bon professionnel si ce n'est pas déjà le cas.

C'est déjà le cas.
Voilà, je me sens un peu mieux ce soir grâce à vous. Merci.

penau xavier — 09-11-2008 01:30

:)

anonyme — 09-11-2008 01:39

Pour M. GeorgesN.
J'ai le sentiment d'avoir été injuste avec vous et de ne pas vous avoir remercié pour l'aide que vous m'avez apportée. Rien ne vous obligeait à le faire.
J'ai le sentiment également que vous avez fait les frais de mon agressivité...Ce n'est pas sans risque que l'on parle à des gens comme moi. Je me suis montrée agressive avec vous parce que j'ai peur de la vérité, de cette vérité que vous m'avez laissée entrevoir.
Je voudrai vous présenter mes excuses si je n'ai pas été correcte avec vous.
Merci pour votre aide et vos messages.

anonyme — 11-11-2008 22:39

Bon et bien, je m'en vais.
Bonne continuation à tous.

penau xavier — 11-11-2008 22:54

a écrit:

Bon et bien, je m'en vais.

Ah bon? Et pourquoi donc partir comme ça, presque sur la pointe de pieds ... ??

anonyme — 12-11-2008 09:47

Bonjour,
parce que je me sens mal, j'ai montré mon désaccord et je n'ai pas de réponse en retour. Je ne comprends pas.
Est ce que j'ai eu raison de réagir ainsi? Est-ce que j'ai dépassé les bornes?
D'autre part je ne veux pas devenir dépendante de vous, je m'oblige à venir moins souvent.
Je ne sais pas encore comment vos fonctionnez ici. Ce qui me destabilise c'est l'irrégularité des réponses. Beaucoup en peu de temps puis plus rien pendant plusieurs jours. Ce n'est pas une critique. Chacun a sa vie. Il faut juste que je me fasse à l'idée que ce n'est pas parce qu'il n'y a pas de réponses pendant quelque temps, que je n'en aurai jamais.
Je voudrai clore ce sujet et continuer sur le nouveau.

penau xavier — 12-11-2008 10:24

a écrit:

Est-ce que j'ai dépassé les bornes?

Absolument pas et vous avez, ici aussi, pleinement le droit d'exprimer un désaccord.

a écrit:

Je ne sais pas encore comment vos fonctionnez ici. Ce qui me destabilise c'est l'irrégularité des réponses

Nous intervenons tous bénévolement sur ce forum et chacun y conscre le temps qu'il peut/veut en fonction de ses différents impératifs et disponibilités (qui varient d'une semaine à l'autre).

a écrit:

Je voudrai clore ce sujet et continuer sur le nouveau.

Pas de problème...

a écrit:

Il faut juste que je me fasse à l'idée que ce n'est pas parce qu'il n'y a pas de réponses pendant quelque temps, que je n'en aurai jamais.

:)

anonyme — 16-11-2008 11:06

Bonjour,
rendez vous sur le nouveau sujet alors si vous le souhaitez.
Bon week end

anonyme — 16-11-2008 11:09

PS:
le nouveau sujet est "père pervers...."

penau xavier — 16-11-2008 15:48

http://www.psychanalyse-en-ligne.org/fo … tml#p17788