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homosexualité refoulée ou crainte des hommes?

#1  33988

Norvège
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homosexualité refoulée ou crainte des hommes?

Bonjour,
je suis une femme de 39 et ne suis jamais tombée amoureuse d'un homme. je me suis trouvée des tas de raisons à cela: asexualité?, Méfiance envers les hommes, du fait que mon père ait été relativement autoritaire et despote au sein du cadre familial?, Manque d'un repère maternel de féminité forte (mère dépressive même si très attentive)?;  peur de m'engager dans une relation de couple, peur de perdre une certaine liberté?; environnement familial et social hyper-féminisé qui m'a empêché de rencontrer suffisamment d'hommes et m'a rendu timide envers eux par manque de connaissance et d'opportunité de découverte de l'autre sexe? Mais j'ai un frère dont je connais bon nombre de ses amis, et cotois beaucoup de "pères" de famille dans le cadre de mon travail (dont certains séparés et célibataires)...
Je ne me posais plus trop de questions ces dernières années, me contentant d'une théorie "asexuelle" puis j'ai rencontré sur mon lieu de travail une nouvelle collègue qui est ma supérieure hierarchique. J'ai réalisé avec surprise au bout d'un ou deux mois qu'elle me troublait. Je ressentais une forme de désir global pour elle (physiquement, moralement, émotionnellement...). J'ai très vite eu le sentiment que l'"ami(e)" partageant sa vie qu'elle évoquait toujours avec des pronoms impersonnels (de manière très habile d'ailleurs), ne pouvait être qu'une femme- cela sans pouvoir me l'expliquer... Elle a fini par nous avouer qu'elle "avait une préférence pour les femmes" et vivait effectivement avec une femme. Le fait de l'avoir senti m'a troublée d'autant que je me sentais extrêmement bien en sa présence au point d'avoir parfois eu l'envie subite d'aller me coller contre elle- moi qui suis très peu tactile. Mais je sortais d'une très mauvaise période professionnelle avec la personne qui l'avait précédé qui était très intransigeante, n'acceptait aucune faille, avec qui l'on avait une vision du travail complètement opposée et dont l'autorité -voire l'autoritarisme- me renvoyait clairement à ma relation avec mon père et me paralysait. Donc, légitimement, je me suis demandé si je n'avais pas tout simplement une grande considération et admiration, mêlée de reconnaissance pour cette nouvelle directrice qui a su me redonner l'occasion de reprendre confiance en mes compétences professionnelles, si le soulagement de m'être libérée de l'emprise paralysante de mon ancienne directrice ne faussait pas ma vision de cette nouvelle personne. Du coup, je me pose plein de questions sur le sentiment amoureux, le désir... c'est vrai qu'elle occupe énormément mon esprit, que je l'admire, que son regard a tendance à me "retourner" physiquement mais je n'arrive plus à démêler la part de ce que je souhaiterais réel et de la réalité de mes sentiments (amicaux, amoureux...?). Je me suis parfois sentie monstrueuse de n'être pas capable de tomber amoureuse et les émotions de ces derniers mois m'ont fait un bien fou! Je me suis sentie portée par une sorte d'euphorie dont je ne me savais pas capable. Cependant, tout cela s'est transformé en doutes et angoisse depuis du fait de l'impossibilité de concrétisation de cette histoire (elle est très amoureuse de son amie et je respecte énormément ça, et elle est ma supérieure hierarchique).
J'ai oublié de préciser que vers 26 ans, j'avais tenté une expérience avec un homme rencontré sur un site de rencontre mais j'avais rapidement "cassé" (au bout de 2 ou 3 mois) car je ne ressentais rien amoureusement pour lui, au point que je n'ai jamais réussi à me détendre suffisamment pour que nos relations intimes et sexuelles aboutissent. Pourtant, il était très tendre, attentif, ...
Et après-coup, je me souviens aussi que vers 22 ans, j'avais eu une grande admiration pour une collègue de 17 ans mon aînée dont j'admirais l'humanité, la simplicité, la franchise, la morale, et le charme. Je pensais souvent avec une certaine nostagie à cette époque où je travaillais avec elle mais avais occulté le côté sensuelle qu'elle m'avais parfois évoqué.
Le fait d'avoir eu l'impression de découvrir cette part d'orientation sexuelle par rapport à cette nouvelle directrice m'a comme soulagée d'un énorme poids sur le coup mais je me demande maintenant si ce n'est pas une explication trop simple et raccourcie d'où le titre de mon questionnement: homosexualité refoulée ou crainte des hommes? Parce que je suis assez timide en général, mais encore plus envers les hommes... J'ai l'impression qu'esthétiquement, les femmes me procurent de l'émotion alors que je peux trouver un homme beau communément mais sans ressentir cette émotion... En même temps, "moralement", je n'ai jamais été aussi proche d'un homme que je ne le suis de certaines femmes et ne peut faire de comparaison. La question est aussi: pourquoi n'ai-je pas eu envie de plus connaitre en profondeur un homme en particulier? Manque d'opportunités de rencontres (quantitativement et quallitativement, si je puis m'exprimer ainsi) ou manque d'envie et de désirs?... Sexuellement, j'envisage parfaitement la sexualité avec une femme, mais tout cela reste très théorique.
Pouvez-vous m'apporté un éclairage sur ce que vous pensez de mon orientation après ce témoignage. Je sais aussi que ça n'est pas si simple et que l'orientation peut varier au cours de la vie, au gré éventuellement des rencontres que l'on peut faire... Même si curieusement, j'ai plus de mal à envisager une bi-sexualité qu'une homosexualité (que j'envisage presque trop sereinement à mon goût)... Merci d'avoir eu le courage de lire tout ça et merci d'avance de votre réponse.

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#2  33991

Re: homosexualité refoulée ou crainte des hommes?

Dans un premier temps parvenez à définir ce qu'est pour vous "tomber amoureuse", qu'est ce que votre idéalisation ? Comment se portent et se positionnent vos fantasmes par rapport à vos désirs ?
Il serait bon que vous vous essayez à raconter sur un divan ceci en détail.
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- je me suis trouvée des tas de raisons à cela: asexualité?
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Éprouvez vous du désir, pour vous qu'est ce que le désir, l'avez vous déjà rencontré ?
Vous caressez vous votre propre corps par exemple, vous masturbez vous ?

_____________________________,
-Méfiance envers les hommes, du fait que mon père ait été relativement autoritaire et despote au sein du cadre familial?,
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La méfiance empêche t elle l'envie, le désir ou l'acte ?
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Manque d'un repère maternel de féminité forte (mère dépressive même si très attentive)?;
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Pouvez vous développer la corrélation que vous y voyez ?
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  peur de m'engager dans une relation de couple,
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Avant de s'engager dans une relation de couple il est nécessaire de créer la rencontre. Cette notion d'engagement dont vous faites état revient à ma première question :

qu'est ce qu'un couple pour vous ?
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peur de perdre une certaine liberté?;
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De quelle liberté parlez vous, de quoi avez vous peur ? Merci de détailler.
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environnement familial et social hyper-féminisé qui m'a empêché de rencontrer suffisamment d'hommes et m'a rendu timide envers eux par manque de connaissance et d'opportunité de découverte de l'autre sexe? Mais j'ai un frère dont je connais bon nombre de ses amis, et cotois beaucoup de "pères" de famille dans le cadre de mon travail (dont certains séparés et célibataires)...
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le désir de rencontre va bien au delà de tout cela.
Quand vous dites " je ne suis jamais tombé amoureuse d'un homme " , j'ai envie de vous demander et d'un petit garçon à l'époque où vous étiez petite fille ?
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Je ne me posais plus trop de questions ces dernières années, me contentant d'une théorie "asexuelle" puis j'ai rencontré sur mon lieu de travail une nouvelle collègue qui est ma supérieure hierarchique. J'ai réalisé avec surprise au bout d'un ou deux mois qu'elle me troublait. Je ressentais une forme de désir global pour elle (physiquement, moralement, émotionnellement...).
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Étais ce la première fois que vous éprouviez du désir pour une autre personne ?
Est ce que ce désir vous dérange ?
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J'ai très vite eu le sentiment que l'"ami(e)" partageant sa vie qu'elle évoquait toujours avec des pronoms impersonnels (de manière très habile d'ailleurs), ne pouvait être qu'une femme- cela sans pouvoir me l'expliquer... Elle a fini par nous avouer qu'elle "avait une préférence pour les femmes" et vivait effectivement avec une femme.
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Vous dites " avoué ", pourquoi ?
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Le fait de l'avoir senti m'a troublée d'autant que je me sentais extrêmement bien en sa présence au point d'avoir parfois eu l'envie subite d'aller me coller contre elle- moi qui suis très peu tactile.
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Vous éprouvez du désir ou de l'affection ou les deux réunis ? Votre "envie" serait de l'embrasser, de vous blottir contre elle ou encore de faire l'amour avec elle ?
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Mais je sortais d'une très mauvaise période professionnelle avec la personne qui l'avait précédé qui était très intransigeante, n'acceptait aucune faille, avec qui l'on avait une vision du travail complètement opposée et dont l'autorité -voire l'autoritarisme- me renvoyait clairement à ma relation avec mon père et me paralysait. Donc, légitimement, je me suis demandé si je n'avais pas tout simplement une grande considération et admiration, mêlée de reconnaissance pour cette nouvelle directrice qui a su me redonner l'occasion de reprendre confiance en mes compétences professionnelles, si le soulagement de m'être libérée de l'emprise paralysante de mon ancienne directrice ne faussait pas ma vision de cette nouvelle personne. Du coup, je me pose plein de questions sur le sentiment amoureux, le désir... c'est vrai qu'elle occupe énormément mon esprit, que je l'admire, que son regard a tendance à me "retourner" physiquement mais je n'arrive plus à démêler la part de ce que je souhaiterais réel et de la réalité de mes sentiments (amicaux, amoureux...?).
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Je me suis parfois sentie monstrueuse de n'être pas capable de tomber amoureuse et les émotions de ces derniers mois m'ont fait un bien fou!
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Pour quelles raisons vous êtes vous "sentie monstrueuse", est ce une obligation à vos yeux ? Si oui par rapport à qui ?
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Je me suis sentie portée par une sorte d'euphorie dont je ne me savais pas capable. Cependant, tout cela s'est transformé en doutes et angoisse depuis du fait de l'impossibilité de concrétisation de cette histoire (elle est très amoureuse de son amie et je respecte énormément ça, et elle est ma supérieure hierarchique).
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Quels sont ces doutes, ces angoisses dont vous faites état ? si elle avait été un homme auriez vous eu les mêmes angoisses ?
Si oui, est ce parce qu'elle est inaccessible à vos yeux qu'elle vous attire ?
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J'ai oublié de préciser que vers 26 ans, j'avais tenté une expérience avec un homme rencontré sur un site de rencontre mais j'avais rapidement "cassé" (au bout de 2 ou 3 mois) car je ne ressentais rien amoureusement pour lui, au point que je n'ai jamais réussi à me détendre suffisamment pour que nos relations intimes et sexuelles aboutissent. Pourtant, il était très tendre, attentif, ...
Et après-coup, je me souviens aussi que vers 22 ans, j'avais eu une grande admiration pour une collègue de 17 ans mon aînée dont j'admirais l'humanité, la simplicité, la franchise, la morale, et le charme. Je pensais souvent avec une certaine nostagie à cette époque où je travaillais avec elle mais avais occulté le côté sensuelle qu'elle m'avais parfois évoqué.
Le fait d'avoir eu l'impression de découvrir cette part d'orientation sexuelle par rapport à cette nouvelle directrice m'a comme soulagée d'un énorme poids sur le coup mais je me demande maintenant si ce n'est pas une explication trop simple et raccourcie d'où le titre de mon questionnement: homosexualité refoulée ou crainte des hommes? Parce que je suis assez timide en général, mais encore plus envers les hommes...
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qu'est ce que le refoulement ? Quid du refoulement ?
Vous ne semblez en aucun cas refouler votre homosexualité latente ou non. Vous la vivez même plutôt bien. Vous ne vous en étiez juste pas autorisé jusque là l'assouvissement.
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J'ai l'impression qu'esthétiquement, les femmes me procurent de l'émotion alors que je peux trouver un homme beau communément mais sans ressentir cette émotion... En même temps, "moralement", je n'ai jamais été aussi proche d'un homme que je ne le suis de certaines femmes et ne peut faire de comparaison. La question est aussi: pourquoi n'ai-je pas eu envie de plus connaitre en profondeur un homme en particulier ? Manque d'opportunités de rencontres (quantitativement et quallitativement, si je puis m'exprimer ainsi) ou manque d'envie et de désirs?...
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Vous seul pouvez répondre, qu'en pensez vous ?
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Sexuellement, j'envisage parfaitement la sexualité avec une femme, mais tout cela reste très théorique.
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J'ai envie de dire : c'est bien. Vous écriviez sur votre éventuelle asexualité... vous pouvez l'écarter.
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Pouvez-vous m'apporté un éclairage sur ce que vous pensez de mon orientation après ce témoignage. Je sais aussi que ça n'est pas si simple et que l'orientation peut varier au cours de la vie, au gré éventuellement des rencontres que l'on peut faire... Même si curieusement, j'ai plus de mal à envisager une bi-sexualité qu'une homosexualité (que j'envisage presque trop sereinement à mon goût)... Merci d'avoir eu le courage de lire tout ça et merci d'avance de votre réponse.
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"j'ai plus de mal à envisager une bi-sexualité qu'une homosexualité"
Si cela ne vous dérange pas, j'ai envie de dire : où est le problème ? l'important n'est il pas que vous vous trouviez dans tout cela ? Que vous assumiez ce désir et partagiez ce désir avec l'être qui saura vous combler et que vous saurez combler ?
Nous avons tous en nous une part d'homosexualité, refoulée, assumée, latente ou occulté, elle est présente. Les femmes trouvent son origine ( entre autre )du désir d'être touchée et du désir de toucher caresser la mère, qu'elles ont aimé si fort, si lointaine, si peu "disponible" et si proche à la fois. Parfois, l'homosexualité est vécue comme une délivrance, un " enfin "...
Le fait de faire l'amour au même rythme et sous les mêmes désirs et envies, de caresser un corps qui n'est en aucun cas inconnu, mais qui est juste le reflet de soi-même et de ses propres désirs de soi, permet, autorise, autre vision de la vie sexuelle. D'autres possibles.
Souvent, lorsque l'homosexualité est latente et non assumée pleinement ou encore vécu comme "une fatalité", il y a "demande de travail sur soi" et là, on observe un effet : "ça c'est fait" qui autorise d'autres horizons, comme si l'homosexualité pouvait aussi réparer des choses...
Dans tous les cas, j'ai envie de vous dire à quoi bon chercher à s'imposer une étiquette, homosexuelle ou non, et si vous viviez votre sexualité au gré de "l'être" féminin ou masculin que vous rencontrez ? Que cela changerait il en soi pour vous ?

Bonne continuation.
J'ai travaillé à votre mail très exactement : 48 minutes. Cela n'aurait pas été possible si vous n'étiez pas passé par le paiement automatique, je vous en remercie et pour vous et pour moi.

Bien cordialement vôtre.


Cabinet de psychothérapie et de Psychanalyse de Christelle Moreau, MAISON de la SANTE, 7 avenue Alfred Mortier, 06000 NICE CENTRE, Arrêt de TRAM Lycée Masséna, Cathédrale Vieille Ville, pour rendez-vous, merci de me joindre au 06 41 18 52 56, à bientôt.
M'appeler avec Skype : christelle.moreau

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#3  34146

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Re: homosexualité refoulée ou crainte des hommes?

Vous avez raison, je pense qu'il est essentiel que je questionne la notion de couple, de désir, que je développe davantage cette impression de manque d'envie d'aller vers les hommes, qui est à relier sans doute avec un manque d'envie d'aller vers l'autre en général, de me confronter à la différence...
Par ailleurs, je vis une sorte de vide affectif que j'ai eu tendance jusque-là à entretenir afin de me protéger des aléas de la vie, de chocs émotionnels trop importants que je n'étais peut-être pas certaine de pouvoir gérér... Maintenant je réalise qu'en voulant trop me préserver, je n'ai pas vécu et que j'en ressens le besoin absolu, d'un coup! Ce qui explique sans doute cette sensation amplifiée des sentiments que je peux vivre alors même que je commence juste à m'ouvrir peu à peu au monde qui m'entoure...
Je me pose de plus en plus la question de savoir si je n'ai pas tout simplement fait un transfert amoureux sur ma "supérieure" parce que je réalise que -contrairement à moi- elle assume parfaitement sa vie, ses opinions, des désirs, dans plein de domaines -pas simplement au niveau de l'orientation. Je réalise que le fait de me "cantonner" à l'étiquette homosexuelle avait un effet rassurant pour moi puisqu'elle venait expliquer -sans doute trop succintement et superficiellement- le vide affectif de ma vie... Ce qui n'empêche que je m'ouvre plus facilement à des possibles différents depuis.
Par ailleurs, je parle de vide affectif mais je devrais parler de vide généralisé car je n'ai guère de passions et ne m'intéresse pas à grand chose en général à part à mon parcours professionnel. Je réalise d'ailleurs que je n'avance plus professionnellement non plus parce que mon manque d'ouverture globale, mon manque d'épanouissement personnel rejailli négativement sur la qualité de mon travail et la qualité de mes relations socio-professionnelles (profession sociale)!
Je pense aussi que je bloque sur l'accès à une vie de couple du fait de la pression sociale générale, de ma tendance à me réferer un peu trop à un cadre "normatif" mais qu'il faut que je me dégage de ce schéma pour pouvoir avancer. Je me suis décider à entamer- depuis peu- une psychothérapie afin d'aclaircir cela. Par ailleurs, je vais davantage essayer de m'ouvrir socialement en m'inscrivant à des sites de sorties sans aucune visée de rencontres... Juste histoire d'étoffer mon entourage social... Et je verrai bien ce qu'il en ressort. L'important, c'est juste de vivre et partager! Le reste est en "bonus", si je puis-dire.
En tous les cas, merci de votre éclairage...

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