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Sale histoire... Qu'en est-il?

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Anonyme 32
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Sale histoire... Qu'en est-il?

Bonjour à vous tous, j'ai voulu relater au mieux ce qui m'est arrivé au cours de l'année dernière. Pardonnez la longueur de mon récit, mais je tiens à être précis:

Début 2008: J'ai 40 ans, je viens d'obtenir une mutation pour revenir dans ma ville d'origine, dans le sud est de la France… C'est une collègue de travail, la cinquantaine, très jolie,  bien faite, mince, toujours mise en valeur par son habillement recherché… On lui donne facilement 7 ou 8 ans de moins. J'apprends par quelques collègues communs qu'elle est fraîchement divorcée, son ex-mari, qui travaille au même endroit que nous, l'ayant quittée pour une autre.

Je suis célibataire, sans enfants. Je n'ai pas eu de relation sentimentale depuis un bon moment, aussi je ne remarque rien, au début, de son intérêt pour moi. Quelques attitudes de sa part, des regards, des sourires, les allusions d'un collègue plus clairvoyant que moi, me mettent sur la piste… Mails échangés, cafés partagés au travail nous rapprochent, et notre relation commence au tout début 2009. Je suis à la fois conquis et étonné qu'une si belle femme s'intéresse au quadra tout à fait quelconque que je suis, tant sa classe et son allure physique et vestimentaire sont éloignés de ce que je suis. Premiers jours, semaines, mois, idylliques… Baisers volés au bureau, sms amoureux de sa part dès l'aube, balades, restaurants, cinéma, fréquentes étreintes, le classique de l'histoire naissante… Tous juste suis-je surpris un jour, alors que nous faisons l'amour, de l'entendre me dire "tu me plais, tu me plais…" d'une voix rauque, en me fixant du regard, comme si nous nous étions rencontrés en discothèque quatre heures auparavant et avions terminé la nuit chez elle juste pour du plaisir. Cela me semble un peu déplacé à ce stade de la  relation, mais je n'y accorde pas d'attention, je plane, je suis sur un nuage.

Nous nous parlons de nous, elle me raconte un peu sa vie passée, origines modestes, papa travailleur, absent une bonne partie de la journée, maman au foyer entièrement dévouée à ses enfants. Elle a 2 enfants déjà grands et autonomes, d'un premier mari alcoolique dont elle a divorcé jeune, puis une relation de plusieurs années avec quelqu'un de jaloux et autoritaire selon ses dires, qu'elle a quitté, et une dernière longue histoire avec  l'homme dont elle a divorcé récemment. Elle le qualifie de libertin, ce qu'elle prétend ne jamais avoir su, de manipulateur, elle me relate parfois leurs disputes, ses coups tordus, les remarques méchantes qu'il lui adressait ("tu es une mante religieuse"). Enfin, elle est victime de tout cela. Elle a eu des aventures et des amants de passage entre ses histoires. Elle ne me cache pas avoir parfois pris des hommes juste pour le plaisir. Je n'ai rien à redire, c'est sa vie passée. Elle m'émeut, et je confesse à mon tour des blessures d'enfance (petit garçon rondouillard dont on se moquait à l'école, écrasé de plus par l'autorité d'un père excessivement sévère et peu communicatif)… Je lui confie mes attentes d'une relation sereine: Laisser à l'autre son espace de liberté, s'accompagner, se respecter. Je pense qu'elle a beaucoup souffert et qu'elle attend sans doute une histoire plus reposante avec quelqu'un de gentil et tranquille comme moi.

Les semaines passent, elle m'organise la plus belle soirée d'anniversaire (un tête à tête très romantique) de ma vie, c'est certain. J'ai pris un peu de poids, je lui dis qu'il faut que je commence à m'en occuper, elle sourit. Elle aimerait que nous vivions ensemble au plus vite, les années passent et elle n'a plus de temps à perdre. Je dis oui, flatté qu'elle m'accorde cette importance.  J'envisageais de quitter le studio que je loue provisoirement pour trouver un appartement plus spacieux, mais je décide d'attendre que nous ayons trouvé, un peu plus tard, un logement qui nous convient. Je la trouve parfois froide, ou distante, mais je mets cela sur le compte de ce qu'elle a traversé.

Nous partons en mai quelques jours au pays Basque. Et là, un soir au restaurant, première attaque, à froid, sur ma volonté de maigrir mais le peu de motivation que j'ai à le faire… Remarque cinglante, brutale, humiliante. Pour résumer, je me mens à moi-même, donc je lui mens,. Son premier mari était accro à l'alcool, le second au sexe, moi je suis accro à la nourriture… Je suis estomaqué, si je peux dire: J'ai bon appétit, certes, mais je ne mange pas constamment, je fais mes trois repas par jour. Dès le retour de ce voyage, les attaques ne cesseront d'augmenter en fréquence, tout en restant très subtiles, presque imperceptibles… Des remarques méchantes sur tous les aspects de ma vie: Ma manière de me nourrir, de me vêtir, de gérer mon argent, ma voiture un peu vieille et démodée, mon petit studio d'alors… Tout y passe. Elle attend plusieurs jours avant de me faire une allusion cruelle à propos d'un détail qu'elle a remarqué mais  pas commenté sur le moment… Un petit retard de 5 minutes, un vêtement mal choisi à son goût, ne sont que des exemples de la large gamme sur laquelle elle joue.

Je dispose de moins d'argent qu'elle, elle le sait, je ne m'en cache pas. Des aides familiales (héritages, etc.) et une confortable somme reçue de la vente de la maison conjugale suite à son divorce lui assurent une aisance financière certaine. Je fais ce que je peux, je lui offre des fleurs, le restaurant, le cinéma, des petits cadeaux. Elle me rend la pareille, bien sûr (sauf pour les petits cadeaux, qui viennent beaucoup moins de sa part, je le réaliserai plus tard) mais ne manquera pas un jour, au sortir d'un supermarché, de me dire (c'est faux, mais elle ne le voit pas, puisque elle n'est pas si impliquée que ça dans la relation, comme je m'en rendrai compte) "Il y a longtemps que tu n'as pas payé les courses… T'en es-tu aperçu?"… Je ne sais que répondre, je suis surpris et vexé, j'ai l'impression de chercher mes arguments et de cafouiller, de m'embrouiller tout seul…

Le temps passe, elle cherche un nouvel appartement, mais ne semble pas m'inclure dans ce projet. Plus jamais elle ne parle d'une possible vie à deux, elle a trop donné, n'est pas sûre d'avoir envie de revivre cela. Les moments de tendresse et de grande gentillesse alternent avec d'autres durant lesquels je semble ne pas l'intéresser du tout. Les petites réflexions et quolibets soi-disant "pas méchants" n'en continuent pas moins pour autant… "Etait-il nécessaire que tu reprennes des frites?", "Pourquoi retires-tu ton argent à coups de 40 euros? On dirait un petit grand-père…" Pourtant, elle m'a présenté à ses enfants, à ses frères, à ses amis au bureau, qui semblent m'apprécier, et auxquels elle confie être très amoureuse. Elle connaît également mes amis et ma soeur, ne fait rien pour m'empêcher de les voir. Nos nuits ensemble s'espacent, elle est très occupée, sa vieille maman, l'un ou l'autre de ses enfants, son frère aîné, très proche d'elle, qui vit à quelques kilomètres, qui l'aide à tout moment depuis toujours, qu'elle voit fréquemment et auquel elle téléphone au moins une fois par jour. Elle prend soin d'elle, fait du sport, du yoga, va au spa et voit des spectacles avec ses amies. Cela ne me dérange pas, puisque à ce moment là j'apprécie de la laisser tranquille après ce qu'elle a vécu, pour la retrouver avec plaisir par la suite.

Peu à peu je perds mes moyens, il m'arrive de m'emporter. Je l'observe parfois, elle est absente,comme encombrée de ma présence. Lorsqu'elle me voit, elle affiche un sourire mécanique, qui n'exprime rien. Je ne peux le prouver, mais je le sens. Je ne suis pas à l'aise, j'ai l'impression d'être en périphérie de sa vie. Je l'interroge alors sur la raison de cette distance qu'elle prend. Je lui dis que mieux vaut sans doute arrêter si elle n'est pas bien avec moi. Le ton monte alors, elle ne formule aucune réponse précise, se met en colère, me renvoyant adroitement aux blessures d'enfances évoquées plus tôt, responsables selon elle des questions que je me pose sur nous. "Tu vas vraiment arriver à ce que tu souhaites!" dit-elle en évoquant une possible séparation. Moi je ne souhaite rien d'autre qu'une relation sereine, et certainement pas ce que je suis en train de vivre et de subir. Elle dit ne pas pouvoir me donner  plus, que sa vie est bien remplie entre sa famille et ses obligations, qu'elle ne m'oblige à rien en ce qui concerne l'avenir de notre relation… Là encore, j'encaisse, j'y crois toujours… Un jour, j'explose au téléphone: Elle vient de me demander que nous dormions ce soir chacun chez soi, elle ne se sent pas disponible, une fois de plus, une fois de trop pour moi. Je repasse chez elle prendre mes affaires, je lui dis qu'elle est toxique, qu'elle me fait peur. Je fais mon sac, mais elle me retient, d'une voix étonnamment calme pour quelqu'un qui est pris en faute: "Calme toi, calme toi, assieds toi, on va discuter"…  Elle parvient à m'adoucir, me propose finalement de dormir chez elle. J'y crois, et les choses repartent…

Je décide de me trouver un appartement, et même, pourquoi pas, d'en acheter un.  Elle m'encourage à le faire: "Avance dans la vie, c'est bien, fais les choses pour toi". J'achèterai donc, mais selon mes moyens, pas très importants. Et là, reproche: "Mais comment vas tu faire pour me recevoir, pour recevoir des amis, dans une petite surface? Ma fille est bien arrivée à acheter un T3, pourquoi ne le pourrais tu pas?" Encore une fois, elle ne retient que cet aspect, dénigrant la modestie de ma recherche immobilière, mais omettant de mentionner que sa fille, employée de banque, bien mieux rémunérée que moi, empruntant à taux préférentiel, a aussi bénéficié d'une aide de quelques dizaines de milliers d'euros de sa maman. Je ne sais que répondre, je n'essaie même pas, car quoi que je dise, ça n'ira pas.

L'été avance, elle est parfois tendre, amoureuse, gentille, adorable, mais aussi régulièrement indifférente et dure. Ses mots sont alors comme des torpilles. Nous souhaitons assister à un spectacle de flamenco. J'économise pour mon futur déménagement, je fais juste attention à mes dépenses. Elle dit comprendre. A la fnac, j'achète mon billet, elle le sien et celui de sa fille, qui nous accompagnera. Rien à signaler, mais quelques semaines plus tard j'aurai droit à une remarque désobligeante laissant entendre que le fait que je n'aie pas acheté les trois billets fait de moi un goujat. Les allusions acides fusent entre deux périodes douces et tendres (j'aimerais acheter une moto pour nous permettre de mieux circuler l'été, elle me propose de m'aider financièrement, ça lui ferait plaisir, mais je refuse. J'achèterai un scooter, moins cher, et elle m'offrira spontanément de m'emmener en voiture le chercher à plus de 200 km de là). Au fond de moi j'espère toujours que nous vivrons ensemble un jour, mais je n'en dis rien. A quelques occasions, je me mets encore en colère en constatant son peu d'engagement dans la relation, ce qui nous vaut quelques accrochages. Un soir d'août, je suis allongé près d'elle. Nous parlons de ma vie. Elle me dit "Ne t'inquiète pas, ça ira, tu vas t'en sortir, tu as des capacités, tu es intelligent". Elle me parle comme à un ami qui viendrait de divorcer. Je le lui fais remarquer, en lui disant qu'il ne manquerait plus à son discours que "tu finiras par rencontrer une femme qui te conviendra". Elle accuse le coup, car je mets en lumière, semble-t-il, son manque d'intérêt pour moi. Je lui demande ce qu'elle ressent à mon égard, elle me répond "de l'attachement". C'en est trop, je me lève, rassemble mes affaires et rentre chez moi. Elle ne me retient pas, elle est blême, presque blanche. Ses jambes trahissent sa nervosité. La fumée de sa cigarette tremble également au rythme de ses mains. Trois jours passent, elle me rappelle: "Tu me manques, je t'aime, c'est certain, je ne sais pas ce qui se passe dans ma petite tête…" Je reviens, nous parlons, j'ai l'impression de percer un peu sa carapace en lui disant que la femme qui m'a séduit est certainement encore quelque part sous cette personne froide et méchante que je côtoie désormais régulièrement. Elle pleure. Je la console, je replonge, quoi…

Mi-septembre, j'ai trouvé un appartement à louer. Elle semble heureuse pour moi, m'aide pour mon déménagement, m'offre même la location d'un fourgon, me prête l'argent qui me manque pour m'offrir un canapé. J'ai quitté un studio meublé pour un appartement vide, je dois donc tout acheter. En plus de l'acquisition d'une voiture d'occasion, toutes mes économies y passent. Elle le sait, mais ne pourra s'empêcher de me reprocher plus tard, pas méchamment bien sûr, de ne pas avoir trouvé le moyen d'épargner pour le voyage à New York que nous avions envisagé de faire et qui se trouve, de ce fait, reporté. Je fais de la peinture, j'aménage. Il fait encore chaud, je ne mange que des salades et des fruits, pas le temps de cuisiner. Un soir, je l'invite à dîner chez moi, puis à aller au cinéma ensuite. Elle arrive, j'ai tout préparé, mais je ne trouve pas la molette de la table de cuisson au gaz. Je ne peux faire chauffer le dîner. C'est maladroit, certes mais pas dramatique. Elle s'emporte: "Comment peux-tu être aussi négligent? Sais-tu qu'une femme de mon âge ne peut être traitée comme ça?" Je suggère un restaurant, ce qu'elle refuse. Plusieurs semaine plus tard, elle me reprochera encore une fois cela, ajoutant également que j'aurais pu l'inviter quelque part… Sans commentaire.

Elle cherche toujours son futur appartement. Les visites s'enchaînent. Un samedi, il est convenu qu'elle me rejoindra chez moi pour déjeuner après une de ces visites. Je dresse la table, prépare  le repas. Je l'appelle pour lui dire que je l'attends tranquillement. Et là j'apprends qu'après la visite elle déjeune avec son frère et sa belle-soeur dans un petit restaurant. Je suis en colère, mais immédiatement elle retourne la situation à son avantage: "Je sais que tu es un peu juste financièrement depuis ton déménagement, alors je ne te l'ai pas proposé. Oh ne sois pas en colère, ce n'est pas grave, j'arrive tout de suite après". Elle viendra, en effet, bien après 15 heures...

Les derniers mois de cette relation destructrice seront de la même eau. Elle m'accompagne à Paris pour quelques jours, je dois y passer un oral d'examen professionnel. Nous nous promenons au bord de la Seine, visitons à droite à gauche, mais elle ne semble pas bien avec moi. Pourquoi est-elle venue? Dans le train au retour, rien n'a évolué. Le simple fait d'aller aux toilettes et d'attendre mon tour, ce qui prend du temps, me fait imaginer qu'elle va penser que je suis parti manger en cachettes quelques friandises au wagon bar… J'en suis là. Je ne me reconnais pas. Je ne parviens que difficilement à lui faire l'amour, tant je sens que ses pulsions de désir sont totalement dissociées d'un quelconque sentiment pour moi. Il lui faut un homme pour du sexe, moi ou un autre, ce serait égal. Elle s'étonne que "j'aie du mal à maintenir mes érections". Elle souhaite un peu plus tard que nous allions au soleil, quelque part, pour couper un peu l'hiver. Je suis d'accord. Peut-être acceptera-t-elle de m'avancer le complément si je n'y parviens pas à économiser la totalité du coût du voyage. A ce moment elle me répond "Oui, mais il faut que ça te satisfasse". Je ne comprends rien à cette phrase, même aujourd'hui lorsque j'y repense. Elle s'énerve un jour au téléphone: "Ah oui pour avancer tu avances, mais pour toi seul! Il y a un an que nous somme ensemble et rien ne se fait!" C'est  bien elle pourtant qui me conseillait de faire les choses pour moi, d'avancer dans la vie. A chaque pas que je fais vers elle, elle recule, tout en me reprochant de ne rien faire pour que la relation évolue. Elle m'offrira cependant un cadeau à Noël, elle fera avec moi les courses du réveillon du jour de l'an l'après midi du 31 décembre, n'omettant pas de mentionner, trop ironiquement pour que ce ne soit qu'ironique, qu'une de ses collègues m'a vu un matin sortir de la boulangerie où nous sommes en train d'acheter le pain (j'allais y regarder les bûches, prévoyant d'en acheter une pour le réveillon de Noël que j'ai passé avec ma soeur). Encore cette pression sur la nourriture. Je suis totalement déstabilisé. Je me sens honteux alors que je n'ai rien fait de mal. C'est insupportable. Elle me promène ensuite en voiture dans quelques endroits où elle avait repéré des appartements qui finalement ne lui ont pas convenu, ajoutant même qu'elle avait refusé l'un d'entre eux, que j'avais visité avec elle, "parce qu'il ne m'avait pas plu et qu'elle envisageait peut-être que nous vivions ensemble plus tard"… Je ne réponds plus rien, tant je sais que vivre ensemble est désormais le dernier de ses soucis. Je tente de prendre du recul, me demandant quelles réactions chimiques, quels combinaisons biologiques se mettent en oeuvre dans son cerveau pour en arriver à ces phrases qui me démolissent. Je me demande si elle ne me prend pas pour un idiot, si elle ne joue pas avec moi par pure cruauté. Elle me quittera deux jours plus tard, prétextant vouloir rester seule, se reconstruire. J'ai l'intuition qu'en réalité il n'en est rien, qu'elle m'aura bientôt remplacé, sans plus d'états d'âme que lorsqu'on change de CD sur une chaîne hi-fi.

Epilogue: Deux mois et demi après son départ, elle me laissera un message pour me demander de lui permettre venir récupérer des affaires qu'elle a laissées dans mon garage, et s'enquérir de ce que je deviens. Profondément agacé, j'emmènerai celles-ci chez son frère, en lui demandant de les lui remettre. Je recevrai quelques minutes plus tard un message de mon ex amie, auquel je ne répondrai pas,. Elle trouve regrettable que j'aie "procédé de cet manière", me faisant part de son étonnement quant à la façon que j'ai eue de rendre ses affaires à son frère, me disant qu'il aurait été plus simple pour nous deux que je les lui remette directement, comprenant que je ne souhaite pas la voir mais ajoutant quand même: "J'aurais peut-être aimé qu'on discute"… Encore une fois, bien après la séparation, il me semble qu'elle tente de maintenir une emprise sur moi.

J'en suis là aujourd'hui, je guéris doucement, et je me demande si j'ai rencontré une femme autoritaire ou si tout ce que j'ai vécu relève de la manipulation. Vos avis m'intéressent, car je suis parfois encore perturbé mais aimerais pouvoir donner un nom à cela. Merci.

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#2  28146

Re: Sale histoire... Qu'en est-il?

Bonjour,

a écrit:

je suis parfois encore perturbé

oui cela se comprend, mais ,juste une suggestion.., plutot que de chercher "un nom à cela" vous vous demandiez pourquoi et comment vous avez accepté de vivre ce: cela..
wink


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