je me retrouve dans le passage suivant, que j'ai pris dans votre texte

"La sensation de vide laissée par ce travail aura à être accompagnée, dans bien des cas, d'un processus de deuil, en effet le patient en devenir de sujet se verra changer, évoluer presque "muer" psychologiquement comme perdre une partie de lui-même qui a été partie intégrante de sa vie, de sa relation aux autres, de son affectif, de ses mal-êtres, de ses traumatismes quelles qu'en soit la ou les sources."

Serait-ce une periode pendant laquelle les pulsions a mis chemin entre d'anciens investissements devenus desuets, et d'autres nouveaux encore a trouver, nous laissent par exemple un sentiment curieux, comme celui d'etre desoeuvre mais sans l'ennui habituel qui accompagne cet etat....  ?